dimanche 1 janvier 2012

LA CHASSE AU SANGLIER II

Tradition et empathie pour le lecteur obligent : La rédaction, c'est à dire moi-même , vous souhaite une belle et chaleureuse année 2012.

Que celle-ci puisse contribuer à élever nos consciences.

Nous avions laissé le lecteur dans l'attente d'une résolution du texte présenté par l'abbé Boudet dans la VLC : la chasse au sanglier ( voir première partie ).

Nous allons maintenant entreprendre de vous mener là, sans doute, ou rien dans le texte apparent ne semblait devoir vous conduire.
Nous avons observé qu'un des éléments cachés dans ce texte était en rapport avec la mythologie grecque et produisait comme résultat Idoménée d'une part, Crébillon père comme auteur d'autre part, et le mercure philosophique pour cadre.

En regroupant ces trois données, voici ce à quoi nous aboutissons :

http://books.google.fr/books?id=zPcWAAAAYAAJ&pg=RA1-PA155&lpg=RA1-PA155&dq=idom%C3%A9n%C3%A9e+dans+le+mercure+de+france&source=bl&ots=QIXrQIO5lk&sig=Wm8RlCqx--Qr6dID7srPWCqZoO8&hl=fr&sa=X&ei=CoUAT_6pDpHPsgaXq-nvDw&ved=0CB4Q6AEwAA#v=onepage&q&f=false


Que le lecteur veuille bien prendre connaissance de la page de couverture, mais surtout de ces quelques lignes en page 3 sous le titre  Avertissement.

L'information à retenir ici est bien évidemment l'adresse de la revue Le Mercure de France, à savoir en la Butte Saint-Roch, rue Sainte Anne, c'est à dire pour celles et ceux qui m'ont lu avec attention depuis le début en lieu et place de l'actuelle Eglise Saint-Roch, qui est un des deux points de chute choisi par les initiés à l'énigme de Rennes-le-Château, le second étant la rue Corneille à Paris, points de chute  dont nous estimons que la longitude est à reproduire, à transposer sur le territoire du Razès.

L'église saint -Roch était en effet incluse dans le périmètre de ladite butte, une présentation de celle-ci s'impose :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Butte_Saint-Roch

Ici, il conviendra d'effectuer un retour vers le texte de l'abbé Boudet, et de mettre en parallèle certains extraits de "  La chasse au sanglier  " avec les faits historiques en rapport avec la butte saint-Roch :


 "Les Celtes, doués d'une nature généreuse,n'étaient | 
point enclins au vol et au brigandage,et ils étaient
 peu nombreux ceux qui se rendaient coupables de pareils méfaits. Du reste, la justice 
était prompte et sévère, et le Fangallots des
 Redones - to faint (fént) disparaître, Gallows(Galleuce)
, potence, gibet, - rappelait aux habi-tants de la région,
 que la pendaison était la justepunition des criminels. "


Or, la butte saint-Roch fut également répertoriée comme lieu patibulaire:


http://books.google.fr/books?id=omVZAAAAYAAJ&pg=PA589&lpg=PA589&dq=la+butte+saint+roch+lieu+patibulaire&source=bl&ots=suoJYpBCU4&sig=fGpokxDqSQr53le79V9G5DMdpdA&hl=fr&sa=X&ei=YYoAT_jiNcag8QOizvCbAQ&ved=0CB4Q6AEwAA#v=onepage&q=la%20butte%20saint%20roch%20lieu%20patibulaire&f=false

 Par ailleurs :

" La croyance inaltérée à la vérité de l'immortalité de l'âme,
 conduisait les Celtes à déployer une grande pompe religieuse
 dans les derniers devoirs rendus à leurs parents et à leurs amis. 
Ils ensevelissaient les morts dans des tom-beaux formés de terre et de pierres,
 élevés encône et connus sous le nom de barrow, 
- barrow(barrô), tombe, tertre - " 


L'abbé Boudet aurait pu rajouter le terme de tumulus, puisque c'est bien de ceci qu'il nous entretient.
Or, ainsi que mentionné ci-dessus ( lien wiki ) la butte saint-Roch fut l'objet d'un débat controversé en rapport avec une origine supposée de tumulus gaulois :


http://books.google.fr/books?id=jqc_AAAAcAAJ&pg=PA190&lpg=PA190&dq=la+butte+saint+roch+de+paris+tumulus+gaulois&source=bl&ots=i4ZFIMAJNQ&sig=K9s4uvH1FlJLQwEOcK9GgcXIVUI&hl=fr&sa=X&ei=Io0AT_nsLsiZ8gOd2LT_AQ&ved=0CC4Q6AEwAg#v=onepage&q=la%20butte%20saint%20roch%20de%20paris%20tumulus%20gaulois&f=false

Et puisque notre abbé Boudet est un grand farceur devant l'éternel, ne manquera-t-il pas de valider notre démarche en nous laissant un indice, mais ailleurs dans son essai ( il semble que notre abbé ait également procédé à des formes de renvois au sein même de La Vraie Langue Celtique)

Que le lecteur veuille bien retenir que sur le lien ci-dessus, le petit poème qui y est inclus s'achève sur ce vers :
" au lieu d'Ossa sur Peillon "


p.239 de la VLC de Boudet :


...un travail de géants, et on n'est guère surpris 
que les Grecs aient inventé, au sujet de ces
 énormes pierres, dont ils ignoraient
 la significa-tion et placées sur le sommet des
 collines, leurfable des géants aux longs cheveux,
 au regardfarouche, cherchant à escalader 
le ciel, et en-tassant Ossa sur Pélion et l'Olympe sur l'Ossa...

Le lecteur aura remarqué que sur cet extrait est opéré un retour à la sphère de référence mythologique grecque, ce qui est naturel vis à vis d'Idoménée, notre point de départ. 


Ces éléments recoupant le texte, s'ajoutant au fait que nombre d'indices nous conduisent en l'église Saint-Roch de Paris, ne peut que nous renforcer dans notre approche.
Ce mercure philosophique dissimulait donc un autre Mercure, plus prosaïque, dans le domaine de l'édition : Le Mercure de France.
D'autant plus, que , lorsque la donnée "Pierre Corneille", qui est l'invariant que nous avons croisé maintes fois dans notre recherche, produit ce qui suit :


http://books.google.fr/books?id=CzvrAAAAMAAJ&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false


Voici qui a de quoi nous satisfaire, d'autant plus lorsque l'idée nous prend subitement de travailler la date de naissance de l'auteur ci-dessus : Edouard  Fournier - date de naissance le 15 juin -

Tout comme un illustre peintre qui n'est autre que Nicolas Poussin !
Au demeurant les chercheurs patentés sur notre énigme ont-ils bien établi que le 15 juin est fêtée sainte Germaine de Pibrac ?
Et qu'en effet miroir sa présence au sein de l'église de Rennes-le-Château répondait à ce besoin obsessionnel, pour nos initiés, de transmettre à la postérité ces indices comme testament de leur connaissance. 

Enfin, pour clore cet exposé du jour, de l'an, nous nous permettrons un dernier détour vers le journal " le magasin  pittoresque " dont l'abbé BOUDET s'est inspiré pour La chasse au sanglier.
Un indice y est incorporé, dans ce que nous appelons la partie hors texte, c'est à dire celle incluse dans le journal, mais qui ne servit pas directement à l'abbé Boudet, mais là encore, la nécessité de dissimuler certaine connaissance commandait.
Nous attirons l'attention du lecteur sur un dicton météorologique, de même nature que ceux dont nous avons déjà relevé la fonction signifiante par ailleurs.
Ce dicton est lié à la date du 13 décembre.
Et sur ce point le lecteur aura, nous l'espérons, compris pourquoi le hors texte était aussi important que le texte lui-même...


Nous rajouterons que dans ce qui précède un indice essentiel n'a pas été explicité.
L'évidence l'impose.


A suivre - en ce jour de l'an 2012 - l'auteur alain C . . . . . h


Très prochainement la suite - ou nous verrons que notre abbé, de manière on ne peut plus claire,
nous dirige vers le Méridien de Paris.
























1 commentaire:

  1. Bonjour Anauel,
    Un internaute souhaite vous contacter. Il a lu un de vos articles via les news de RLC. Comme je n'ai trouvé que les commentaires pour vous joindre, je m'abstiens de vous donner ici l'adresse de messagerie !
    Meilleurs voeux,
    Johan, webmaster de la Gazette de Rennes-le-Château

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