lundi 5 décembre 2011

GERMIGNY DES PRES

Comme annoncé précédemment, et pour faire écho à nos propres recherches, nous avons le plaisir de proposer au lecteur une synthèse du travail d'une consoeur chercheuse sur Germigny-des-Prés : Geneviève Béduneau, que d'aucuns connaissent peut-être pour la qualité de ses interventions lors de conférences.

Nous poursuivrons quant à nous notre chemin suite à cette intervention :

 

" Il y a quelques années, j’ai analysé comment Plantard et ses « plumes autorisées » (de Sède, Chaumeil à ses débuts, Baigent, Leigh et Lincoln principalement) avaient transposé des événements historiques réels pour construire leur grande saga du Prieuré de Sion qui n’a, elle, aucune consistance historique. Dans cette démarche dont j’ai déjà publié les résultats chapitre après chapitre  dans la revue Liber Mirabilis, la date du 17 janvier, fête de saint Antoine, m’a servi de fil d’Ariane. Il m’a d’abord mis sur la piste de l’ordre des Antonins et de leur lien étroit avec la descendance de saint Guilhem, cousin de Charlemagne, duc d’Aquitaine puis moine de Gellone. Or les Antonins furent un ordre de médecins, d’astronomes et d’alchimistes. Un des alchimistes les plus célèbres, Nicolas Flamel, affirme avoir réussi le grand œuvre un 17 janvier grâce au livre d’un certain Abraham le Juif et à l’enseignement de maître Canches, un médecin juif rencontré sur le chemin, au retour de Compostelle. Mais cet initiateur meurt en arrivant à Orléans. La plupart des commentateurs notent que ce récit est d’abord symbolique et décrit le processus du Grand Œuvre.

Le pèlerinage de Compostelle, selon sa légende, fut créé en 813, à la fin du règne de Charlemagne. Or à cette époque, l’évêque d’Orléans n’était autre que Théodulf, un des piliers de la renaissance carolingienne. Né vers 750 d'une famille originaire de Saragosse, il se serait réfugié à Narbonne après l'échec de la rébellion de 778 ; à moins qu'il ne soit né dans cette ville, il existe une incertitude historique à ce sujet. Nous le retrouvons jeune homme au monastère de Lorsch en Rhénanie, où il se signale par une activité de poète et de liturge. En 781, il est présenté à la cour de Charlemagne dont il devient l'un des conseillers. Deux ans plus tard, il est sacré évêque d'Orléans et reçoit en plus le gouvernement des abbayes de Saint-Aignan, Fleury, Saint-Liphard et Saint-Mesmin. C’est à lui que Charlemagne confie la définition de la discipline du clergé, l’organisation des écoles en milieu rural et même la justification théologique de la réforme de l’Eglise en cours depuis Charles Martel. Autant dire qu’il s’agit d’un personnage considérable. Parmi les épisodes de sa vie, notons qu’il fut l’un des missi dominici envoyés dans la zone frontalière récemment reconquise sur les Arabes d’Espagne, la région de sa jeunesse entre Narbonne et Carcassonne. C’est par le poème dans lequel il décrit son périple que nous connaissons l’existence de la cité de Rhedae. Plantard et ses épigones l’associent étroitement à la saga de Rennes le Château. Ils le citent aussi par allusion lorsqu’ils font épouser à Sigebert IV une princesse wisigothe nommée Gisèle ou Gisla. Or il n’en existe qu’une connue de l’histoire, la propre fille de Théodulf. En effet, il n’est devenu moine qu’après son veuvage, son épouse n’ayant probablement pas survécu à la naissance de l’enfant. Elle ne pouvait pas épouser un Sigebert qui avait vécu un bon siècle plus tôt mais l’emploi de son prénom insistait sur Théodulf.

Il fallait donc s’intéresser à ses œuvres. En 806, Théodulf fait construire par Odo l'Arménien[1] un oratoire dans sa villa privée, à quelques kilomètres d'Orléans. Il utilisait déjà ce domaine campagnard plutôt que le palais épiscopal pour réunir les érudits et les chercheurs de son diocèse ou pour des rencontres avec des intellectuels d'autres cités, pour l'équivalent, en somme, de nos actuels colloques et séminaires. L'oratoire fut dédié à saint Germain d'Auxerre et sainte Geneviève ; la villa prit alors le nom de Germiniacum, « chez Germain », qui deviendra Germigny en langue romane. Mais l'ancien nom du domaine évoquera quelque écho aux lecteurs familiers de la saga de Rennes : le Val d'or.




[1]              Les Arméniens jouissaient d'une réputation méritée d'être les meilleurs architectes du monde connu. Toute l'architecture carolingienne après Germigny et la Chapelle d'Aix, et tout l'art roman dérivent de leurs prouesses. En 957, ils bâtirent dans leur capitale, Ani, une cathédrale à plan circulaire dont la voûte s'élevait plus haut que l'actuelle Saint-Pierre de Rome. Jean Pierre Alem (op. cit. p.28) nous apprend que, « située au bord de la rivière Arpa-Tchai, dans la vallée des fleurs, Ani, la ville aux quarante portes, aux cent palais et aux mille églises, devint un boulevard de la civilisation occidentale et chrétienne face à l'Asie ». Elle fut détruite, y compris sa cathédrale, lors de l'invasion touranienne de 1064. Pourtant, un médaillon de la Sainte-Chapelle de Paris, sculpté au XIIIe siècle, représente l'arche de Noé sommée d'un édifice de type roman en qui  tous les contemporains ont reconnu la cathédrale d'Ani, ce que confirment les études de notre temps. Deux siècles après sa disparition et à des milliers de km de distance, la merveille architecturale d'Ani demeurait donc présente dans les mémoires, tellement présente que l'imagier anonyme pouvait la restituer sans erreur.

L'église de Germigny a beaucoup changé au cours des siècles. A l'origine, c'était une fleur : quatre chapelles en cul-de-four entourant un chœur carré délimité par quatre piliers. Au dessus, le premier clocher d'occident se dressait comme un pistil. D'étroites fenêtres garnies d'albâtre répandaient une lumière douce et tamisée, une lumière sans ombre. Le sol entrelaçait les marbres. Murs et voûtes étaient recouverts d'une mosaïque ininterrompue, où des lianes fleuries rappelaient la luxuriance du Paradis terrestre. Seule l'abside orientale s'ouvrait sur une scène énigmatique. L'Arche d'alliance y rutilait de tous ses ors, veillée par quatre anges. Cette mosaïque a survécu, tandis que les restaurateurs du XIXe siècle firent impitoyablement disparaître les fleurs paradisiaques. Germigny est la seule église au monde centrée sur l'image de l'Arche d'alliance. Elle prend derrière l’autel la place traditionnellement réservée au Christ Pantocrator entouré des quatre évangélistes. C'est une anomalie majeure dans l'art liturgique chrétien, tant d'orient que d'occident. Et l'on doit toujours questionner une anomalie.

Sous la mosaïque court une phrase assez difficile à rendre et à traduire : les mots ne sont pas séparés le plus souvent et, selon comment on les restitue, on obtient trois sens différents. Les reproductions anciennes permettent de contrôler qu'il n'a pas été trop altéré lors des restaurations. Le premier niveau de lecture nous invite à contempler l’Arche et à prier pour Théodulf. Le deuxième est un conseil aux chantres pour bien placer leur voix dans cet édifice dont les proportions sont celles de la gamme naturelle, qui donc résonne au moindre souffle. Le troisième niveau de sens est sans doute alchimique, avec une allusion à la valeur purificatrice du son des cloches.

De plus, quand on compare le plan de Germigny avec ceux des principales églises arméniennes contemporaines et même ultérieures à symétrie centrée, une nouvelle anomalie saute aux yeux. Il ne s'inscrit pas dans un cercle, symbole des cieux, mais dans un œuf. Dans cet œuf rouge, peut-être, que, selon la légende grecque, Marie Madeleine présente à l'empereur pour lui annoncer la Résurrection.

Le lien établi par Nicolas Flamel entre Orléans et Compostelle, plus probablement entre Germigny et Compostelle car la ville d’Orléans n’a rien d’alchimique, suggère à l’époque carolingienne un grand projet de pèlerinage contrôlé sur lequel artisans, chantres et sans doute médecins auraient fait leur apprentissage, un équivalent de ce que sera plus tard le tour de France des compagnons. Il manque toutefois un point, celui qui aurait correspondu au 17 janvier et à saint Antoine. Ce projet, cassé par la guerre entre les petits-fils de Charlemagne, sera repris de manière différente par les Bénédictins et les Antonins au XIIe siècle, de manière éclatée et non plus sous la forme d’un circuit.

Geneviève Béduneau


NOUS ENTRERONS DANS LA CARRIERE III 

Nous avons laissé le lecteur le jour de la fête de Sainte Catherine, il nous paraît donc légitime de poursuivre notre pérégrination intellectuelle en compagnie d'une seconde sainte Catherine, plus tardive, dont nous vous avons déjà entretenu : Catherine Labouré, dont le souvenir se perpétue au sein d'un édifice parisien : la Chapelle de la Médaille miraculeuse.

Puisque nous en sommes aux convergences avec les travaux d'autres chercheurs, nous ne pouvons que saluer ici le travail de Thierry Garnier, chercheur estimable, notamment, pour ce qui nous concerne ici, à partir des carnets de correspondance de l'abbé Saunière, dont notre auteur nous apprend : " Nous pointerons toutefois les nombreux échanges entre Bérenger Saunière et la soeur Terris du 140 de la rue du Bac à Paris, adresse de la Chapelle de la Médaille miraculeuse et du séminaire des Affaires Etrangères ayant des relations avec les A.A ( Assemblée des Bons Amis ) "

Que le lecteur veuille bien de nouveau considérer par quel chemin nous sommes parvenus sur cette date du 28 novembre ( voir Nous entrerons dans la carrière du 18 novembre 2011 ) et force sera de reconnaître que Pierre Plantard, dans l'apocryphe le Cercle d'Ulysse, ne nous dirige pas ailleurs, pour une part du message caché, que sur ce résultat.

Le lecteur aura depuis longtemps, nous l'espérons, compris que notre champ de recherches, et le dévoilement qui s'ensuit, ne souffre d'aucuns des tabous qui semblent en embarrasser certains, et emprunte pour ce faire, certaines voies que d'aucuns jugeraient iconoclastes.

Cet  état, nous le revendiquons et l'assumerons d'autant plus volontiers que celui-ci semble ouvrir sur de nouvelles perspectives, une lecture inédite de certains éléments connus, et de notre point de vue, demeurés jusque là dans l'ombre.

Nous savions que l'Eglise Saint-Roch de Paris paraissait focaliser une attention particulière de la part de nos initiés, et conserver en son sein des signes.
Signes de reconnaissance dont nous avons déjà dresser l'inventaire.
Il en était un, cependant, qui nous avait échappé jusqu'alors, anodin dans une première approche, exposé aux yeux de tous, mais qui, par ce jeu de correspondances des dates du calendrier dont nous exploitons les modalités diverses, ne peut que retenir notre extrême attention.

Il est en effet un cénotaphe ( 1841 ) en l'église Saint Roch, dédié à l'abbé de l'Epée, dont il sera utile de préciser qu'il a initié la recherche sur un langage de signes méthodique utilisable par les personnes atteintes de surdité, afin de lier ces signes avec le français écrit. 

Nous considèrerons ici sa date de naissance, un 24 novembre, qui va répondre en écho avec la date de naissance de René de Birague ( voir notre étude sur les Bergers d'Arcadie de Nicolas Poussin )
René de Birague étant décédé un 02 février...


Et la date de décès de l'abbé de l'Epée, un 23 décembre, qui va répondre en écho avec la date de décès d'un personnage éminemment connu des passionnés de l'énigme de Rennes le Château, qui n'est autre que Dagobert II....


Et voici, comment, fort opportunément, en l'église Saint Roch de Paris, deux éléments d'extrême importance se dissimulent depuis tant d'années.
Bien évidemment, je m'interrogeais.
Existerait-il, outre cette correspondance de dates, fort intéressante, un SIGNE ?


Et puisque l'on nous entretient ici du langage des signes destiné aux sourds muets, un élément à aller quérir de ce côté là ?
SOURD SOURDE ...


COUME SOURDE !!!


S'il n'était ce qui va suivre, le lecteur pourrait, légitimement, penser que le raccourci est facile.
Par ailleurs, le langage phonétique, ou langue des oiseaux , n'étant pas étranger à notre énigme, nous nous autoriserons à investiguer ce matériel.


LE PREMIER MESSAGE DE LA  PIERRE DE COUME SOURDE ( sens propre : vallée de Sour - rivière )


Au même titre que la stèle ou dalle funéraire de Marie de Nègre d'Ables, la pierre dite de Coume Sourde est un des éléments sur lequel nombre de chercheurs se sont essayé à décrypter le message.
S'il existe plusieurs versions de cette pierre,et quand bien même son historicité serait sujette à caution ( mais en tout état de cause elle fait partie intégrante des pièces du dossier ) nous nous intéresserons à la version exposée pour la première fois par Gérard de Sède, en 1967.


Une présentation s'impose :


http://www.rennes-le-chateau-archive.com/la_pierre_coume_sourde.htm


Demeurant dans notre logique, nous retiendrons la date de 1292 en chiffres romains ( au risque de contredire ce qui est exposé sur ce lien c'est bien 1292 qui fait foi )
1292 : aucun lien clair n'est établi pour cette année et l'histoire de Rennes le Château, aussi, ainsi que d'autres chercheurs l'ont supposé, c'est ailleurs que nous tenterons de trouver le lien.


Le 4 avril 1292 :


http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_IV


Le jeu subtil que l'on nous propose ici sera justifié par le fait que le successeur de Nicolas IV n'est autre que Celestin V dont la présence entretient un rapport étroit avec notre énigme, ceci sous forme d'indice, ainsi que présenté au moment de la polémique de cet été 2011.



Logiquement, nous étudierons les correspondances de dates :


Le 4 avril - La circulaire intérieure du Prieuré de Sion dont nous vous entretenons depuis quelque temps, est datée du 4 avril 1989.


Le 4 avril est en accord avec un personnage éminent :


http://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_J%C3%A9r%C3%B4me_Lefran%C3%A7ois_de_Lalande


Sa seule fonction de directeur de l'Observatoire de Paris ne peut qu'ici asseoir le rapport avec le Méridien de Paris, de même manière, le fait qu'il collabora au calendrier républicain, lorsque l'on sait que c'est là une des modalités choisie par nos initiés afin de dissimuler l'information au néophyte, et de la délivrer à ceux qui détiennent la bonne clef de lecture, nous conforte dans notre démarche.
4 avril dans cette acception est le jour de l'abeille, et nous ne pourrons nous empêcher de lier sa symbolique à Mérovée et la lignée dynastique des mérovingien, symbolique reprise ensuite par Napoléon 1er :


Au printemps 1804, Napoléon Bonaparte, alors Premier consul, songe à instituer un nouveau régime impérial et à doter celui-ci d'emblèmes et de symboles nouveaux. Parmi les différents animaux qui lui sont proposés (éléphant, lion, aigle, coq), les abeilles ont sa faveur particulière : "Elles sont l'image d'une république qui a un chef".

        Au-delà de la métaphore toute symbolique, le choix de Napoléon repose sur des motivations plus scientifiques et idéologiques. Le futur empereur veut rattacher le nouveau régime à une dynastie royale qui avait gouverné la France, avant celle des Capétiens - détrônée par la Révolution. Si l'aigle impérial associe la mémoire de Charlemagne au nouveau régime, les abeilles, remontant plus loin encore, rappellent le souvenir des Mérovingiens, c'est-à-dire de Clovis et de sa lignée.

        Que vient faire la science dans cette affaire ? Si un lien est établi entre Napoléon et les abeilles mérovingiennes, c'est à partir des découvertes archéologiques du XVIIe siècle et de l'érudition des historiens du début du XIXe siècle. Beaucoup d'entre eux, en effet, s'accordaient pour voir dans cet insecte vertueux et bénéfique un des emblèmes royaux mérovingiens. Ils se fondent sur la découverte, en 1653, à Tournai, de la tombe du père de Clovis, Childéric Ier, roi des Francs saliens, mort en 481. Parmi l'abondant matériel funéraire retrouvé dans cette tombe figurait une trentaine de petits joyaux émaillé ayant la forme d'un insecte. Ces joyaux avaient peut-être parsemé le manteau dans lequel le roi défunt avait été enseveli. Les érudits de l'époque avaient vu dans cette figure une abeille, symbole supposé de souveraineté, et depuis lors, personne ne les avaient contredits. L'ensemble du matériel funéraires (armes, bijoux, talismans, ) fut offert en 1665 à Louis XIV par l'empereur Léopold en remerciement de son aide militaire dans la lutte contre les Turcs. Ce trésor était encore visible par Napoléon, en 1804, au Cabinet des médailles et antiques de la Bibliothèque nationale (anciennement royale). Il fut, malheureusement pour nous, dérobé par des voleurs en 1831.




Mais là encore, là surtout oserions-nous dire, tout dépend du sens de lecture.
Et peut-être la présence des mérovingiens dans cette affaire de Rennes le Château ne serait que l'arbre qui cache la forêt, le sens à trouver résidant dans ces jours du calendrier républicain, à dates précises, en terme de renvoi ou de correspondances.
Ainsi du jour de la ruche dont nous vous entretenions naguère sur la date du 9 avril ( voir la lettre volée I )
Ainsi du jour du miel qui est le 28 novembre ( sainte Catherine Labouré )...


Mais revenons à notre Pape, Nicolas IV, et sa date de naissance, 30 septembre 1227 :


30 septembre est la fête de saint Ours de Soleure -  1er point de convergence ( voir convergences IV )
C'est dans la nuit du 30 septembre au 1er octobre que Pierre Corneille décède - Second point de convergence.
Par ailleurs, le 30 septembre est la fête de saint Jérôme ( de Stridon ) l'un des pères de l'église, dont on sait le rôle négatif que joua, vers la fin de sa vie, le sac de Rome par les Wisigoths dans l'année 410 ( voir ses écrits sur le sujet )...Nous voici en terrain connu....
Contre toute attente, la pierre dite de Coume Sourde se révèle riche d'informations, et les recoupements systématiques auxquels nous renvoyons le lecteur ( nous nous excusons d'ailleurs de ces renvois vers nos précédents écrits - la cause en est que notre travail de recherche se construit depuis cet été en grande partie en temps réel - que des éléments viennent s'ajouter peu à peu - notre essai à venir tiendra compte de ce décalage pour ne pas égarer le lecteur )

LE SECOND MESSAGE DE LA PIERRE DE COUME SOURDE :

Au milieu de la ligne ou M coupe la petite ligne.
A mon grand regret, il ne m'est pas possible de faire état de mes conclusions relativement à cette phrase.
Ceci pour une raison simple : dévoiler ce message serait dévoiler l'emplacement de la cache de Rennes-les-Bains, pour peu que le lecteur veuille bien faire un retour en arrière sur mes précédents écrits...
Je m'autoriserais juste un indice : M coupe la petite ligne - il y a ici une notion de partage - couper c'est partager...


A suivre en ce 05 décembre 2011 - l'auteur alain C . . . . . h



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