lundi 31 octobre 2011

LE MYSTERE DE LA STELE ASPAIRT II

IL est de ces éléments, dans l'histoire qui nous occupe, qui, bien que non directement lié au matériel utilisé par nombre de chercheurs, méritent que l'on s'y attarde quelque peu.


Nous allons donc approfondir le sujet de la stèle Aspairt, dussions-nous pour cela élargir le champ de notre réflexion à l'environnement particulier et si propice aux légendes des Catacombes de Paris.


Pour revenir à notre illustre égaré dans ce lieu terrible, il nous semble utile de livrer au lecteur une synthèse de l'histoire ou de la légende. Nous recommandons de lire ce lien et plus particulièrement le chapitre à droite de l'écran " La découverte du 30 avril 1804 " :


http://exploration.urban.free.fr/minimal/zoom-philibert.htm


Sans rejoindre son auteur vis à vis de l'anagramme, certes séduisante, nous reprendrons à notre crédit les questions qui sont posées vis à vis de Louis Héricart de Thury, dont nous avons déjà souligné l'importance dans l'évènement dont il est question, et dont nous persistons à penser qu'il posa là, en ce lieu sous terre symboliquement rattaché aux mythes chtoniens, un jalon important en regard de l'énigme de Rennes le Château.
La raison pourrait être de marquer un indice du sceau de l'analogue - en rapport avec la stèle de Marie de Nègre d'Ables ( voir première partie ) - à destination des initiés au modus operandi propre à notre énigme.
Lequel indice ne se situerait pas tout à fait au hasard sur le plan géographique, sa longitude épousant les contours d'un périmètre dont nous avons précédemment largement fait état.


Nous allons étayer notre thèse avec des points de convergence pour le moins troublants,qui, si l'on voulait dresser ici un profiling des acteurs de l'énigme, sauraient trouver un écho singulier.Pour cela nous utiliserons en partie la mécanique de correspondance des dates :


Philibert Aspairt, nous dit-on, s'égara le 03 novembre 1793, alors que dehors, la terreur révolutionnaire battait son plein et prenait Paris en témoin de sa rage rédemptrice.
Quitte à y sacrifier ses plus beaux héros... ou héroïne.
Car en effet, c'est ce même jour, qu'une des figures les plus belles de la Révolution française, la première féministe de notre Histoire de France, Olympe de Gouges, montait sur l'échafaud du docteur Guillotin, afin d'expier, au nom du peuple français, sa faute immense et inexpugnable : celle d'avoir dénoncé la dictature de plus en plus prégnante du clan de Maximilien Robespierre.


Le lecteur ici, s'interroge " Quid d' Olympe de Gouges ? "
Le lien avec notre illustre combattante des Droits de la Femme ne pourrait s'expliquer, ici, d'ou le choix de la date de la disparition de Philibert aspairt, qu'au regard du lieu d'habitation d'Olympe de Gouges à Paris, qui se trouve être Rue Servandoni, ainsi que le rappelle une plaque commémorative sur la façade de son immeuble.
Rue Servandoni auparavant baptisé Rue des fossoyeurs, ce jusqu'en 1806... Reconnaissons là l'humour propre à nos protagonistes de l'affaire.Quand il est question de catacombes...


Le choix de ce jour du 03 novembre et donc d'Olympe de Gouges, pourrait se justifier par, cette fois sa date de naissance, à savoir le 7 mai 1748. Or si nous prenons le 7 mai comme valeur nous parviendrons sur la date de naissance de Louis 1er de Bourbon Condé, à l'origine de la Maison de Condé, et nous nous permettrons de renvoyer le lecteur sur le point géographique dont  nous soulevions l'extrême importance, il y a plusieurs semaines, rue Corneille à Paris, celle-ci jouxtant le désormais Théâtre de l'Odeon, ancien emplacement de l'Hotel de Condé,habitation  du grand Condé.


Et, quitte à faire hurler certains, et en troubler d'autres, nous ne manquerons pas d'ajouter que cette date anniversaire du 7 mai est aussi celle choisie par Pierre Plantard pour la fondation du Prieuré de Sion en 1956!






Mais renouons avec la rue Servandoni, et le lieu de la sépulture de Philibert Aspairt, là ou il fut prétendument retrouvé...Ici encore, nous renvoyons le lecteur à nos précédents travaux, quand nous tracions un triangle sur le plan parisien, l'une des composantes de ce triangle prenant appui sur l'église Saint-Sulpice, afin de rejoindre un second point au jardin du Luxembourg.


Or, la rue Servandoni se trouve être mitoyenne de l'église Saint-Sulpice, et la rue Henri Barbusse très proche, sur le plan longitudinal, du point que nous rapportions au jardin du Luxembourg, ceci dans la perspective du Méridien de l'Observatoire...En clair, nous avons ici la presque exacte reproduction d'un des trois côtés de notre triangle d'or, dont la finalité était de nous indiquer le théatre de l'Odéon, la rue Corneille, comme point de chute.


Or donc, et si nous sommes dans le vrai, il apparaît comme patent que cette histoire inventée, ou réinventée pour les besoins de la cause, de la disparition de Philibert Aspairt, n'existât que comme une manière de miroir tendu aux chercheurs.
La profession de carrier tel que posée dans l'acte dont nous faisions état dans la première partie étant plutôt dans l'ordre des choses lorsqu'il est question des catacombes, il fallut bien en inventer une autre, plus chargée, pourrait-on dire, en terme de symbolisme, à savoir celle de portier, gardien des clefs du Val de Grâce.
Le tout est de savoir de quelles clefs nous parlons !

En clair, que ce tombeau acrotère de Philibert Aspairt, et les dates liées à ce personnage, ne soient là que comme part éclairante, ce qui est un besoin vital dans l'univers des catacombes, d'une autre énigme, située à Rennes-le-Château...


Il est légitime de s'interroger à cet endroit précis de notre propos, sur le fait que didier Héricart de Thury, descendant de Louis Héricart de Thury, et chercheur de son état sur l'énigme de Rennes-le-Château, l'un des trois du trio de choc qui déclencha cet été 2011, et la polémique, et la médiatisation surprenante quant à une éventuelle cachette près de Fourtou - lieu dit qui mérite bien son nom, et dont la position géographique n'est en aucune manière en rapport avec le Méridien de Paris, alors que celui-ci est un pivot central autour duquel se construisent nombre de messages  - n'ait pas eu connaissance, pour le moins, de ce mystère de la stèle Aspairt, de son association, depuis quelques temps, avec la stèle de Marie de Nègre d'Ables, ainsi que d'autres éléments liés aux catacombes de Paris, dont nous vous ferons part très prochainement.
Lesquels éléments ne manqueront pas de susciter le trouble... 

En ce 31 octobre 2011, l'auteur alain C. . . . . h

1 commentaire:

  1. Ma premiere recherche l'anneé 1978 elle a resté inédite jusque à 12-12-12, lorsqu’il sera téléchargé sur le réseau WWW grâce au système de PDF 12-12-12.  Jusque ce jour, voyez l'anticipe:
    http://webspace.webring.com/people/or/ramonetriu/anavana.html

    J’ai résolu un mystère qui avait grand impact littéraire, qui sera présenté a monde par quelques parchemins anciens trouvés dans le français village de Rennes-le-Château (Aude-Fr.)
    l'adrese apres le 12-12-12 :
    http://webspace.webring.com/people/or/ramonetriu/anavana.pdf

    RépondreSupprimer