jeudi 23 février 2012

PAX 681

Le lecteur au fait de l'énigme de Rennes-le-Château établira de lui-même le sujet de notre intervention du jour.
Pour le néophyte qui se serait égaré sur ces pages, qu'il y soit le bienvenu, nous nous permettrons un bref rappel:
cette mention  PAX 681 est un des éléments composant la phrase, ceci après décryptage, d'un des deux parchemins de Rennes-le-Château ( le Grand Parchemin ), tel qu'admis par l'ensemble des chercheurs.


"Bergère, pas de tentation, que Poussin Teniers gardent la clef PAX, DCLXXXI
  ( 681) 
par la Croix et ce cheval de Dieu, j'achève ce daemon de gardien à midi pommes bleues"

Sans exposer les détails de l'opération de décryptage, il est essentiel de savoir que celui-ci s'opéra grâce à une méthode inventée par Blaise de Vigenère, qui fut entre autres astrologue, cryptographe, alchimiste.

Nombre d'auteurs se sont penchés sur le berceau de ce PAX 681 , comme autant de fées empressées de lire les plus admirables fantaisies du moment...
Et que n'a-t-on pas lu !

Au grand chagrin de ces enlumineurs de vérité, dont certes, le labeur mérite quelque hommage, mais sur lequel concernant la  qualité de la production me permettais-je d'émettre les réserves d'un honnête homme, au sens du XVIIème siècle,  je viens livrer ici, non pas fruit de cogitation enfiévrée, tournant et retournant le mot pax - pax xap apx xpa - ou le nombre
 ( d'or bien évidemment ) - 861 - 186 - 816 ? - 618 ? - jésus et son double ? son jumeau ? sa soeur ? Marie-Madeleine à Pigalle ? Une femme à barbe ? ( je n'invente presque rien ) - bref ma restitution sera tout sauf ce qui précède.


PAX - ou Irène ?


Irène (orthographié sans accent dans les pays anglo-saxons), est un prénom féminin, dérivé du grec εἰρήνη (Eiriné), signifiant « paix ».
Dans la mythologie grecque, Eiréné (en grec ancien  Εἰρήνη / Eirếnê) est la fille de Zeus et Thémis, l'une des trois (ou cinq) Heures et incarne la Paix.


Le lien de qualité qui suit fera oeuvre de pédagogie, il sera utile de préciser que les Heures dont il est question avaient pour fonction, non pas de diviser le jour, mais l'année.
Mon étude, enfin ma révélation , ayant pour sujet et méthode l'usage des calendriers, il était bon de le notifier.


http://www.mediterranees.net/histoire_romaine/empereurs_1siecle/auguste/pax.html

Pourquoi, lecteur, t'entraînais-je vers cette déesse ?
Quid ? Quid ? Quid ?


Irène donc...
Irène ( du nom de la sainte Irène de Thessalonique ) est fêtée le 05 avril en Occident.
Et là, lecteur, je t'interpelle ! D'ou vient la méthode de décryptage du Grand Parchemin ? Je te le donne en mille émile : de Blaise de Vigenère, qui est né un 05 avril ! 


Donc, de Vigenère à Vigenère ! Quelle boucle !Quelle escarboucle !


Why ? Why ? Why ?


Ici, nous pouvons marquer une pause, et méditons, frères et soeurs, sur cette vérité -là : les crypteurs à l'origine du Grand Parchemin avaient de la malice !


Sans aucun doute, mais une malice toujours ouvrière, laborieuse, sachant mêler l'utile à l'agréable.
N'écoutant que la petite voix me soufflant " logique " à l'oreille, je testais dans un moteur de recherche " 681 et vigenère " :

http://books.google.fr/books?id=M9A08YxsR5QC&pg=PA681&dq=681+et+vigen%C3%A8re&hl=fr&sa=X&ei=5FdGT6mSNtCF8gPUnsm5Dg&ved=0CDkQ6AEwAQ#v=onepage&q&f=false

Nous parvenons ainsi sur ce texte - il sera ici utile de faire le lien entre Philostrate de Lemnos et Appolonios de Thyane :

Le christ païen du troisième siècle - Apollonius de Tyane et la cour des Sévères
Albert Réville


" L’un des manifestes les plus curieux de cet essai de rajeunissement du paganisme est la biographie d’Apollonius de Tyane, par Philostrate de Lemnos. Ce Philostrate faisait partie du cercle de lettrés et de savans que l’impératrice Julia Domna, femme de Septime Sévère, avait réunis autour d’elle. On sait l’influence que Julia Domna exerça sous le règne de son mari (193-211) et plus encore sous celui de son successeur, Caracalla, mort en 217. C’est conformément au désir exprimé par son illustre protectrice que Philostrate rédigea la biographie du sage Apollonius de Tyane, qui avait vécu, disait-on, sous les premiers empereurs, d’Auguste à Donatien, c’est-à-dire pendant toute la durée du Ier siècle. Déjà d’autres auteurs, tels que Maxime d’Egée et Mœragène, avaient traité le même sujet. Philostrate affirme néanmoins qu’il s’est principalement servi des anecdotes inédites recueillies sous le titre de Reliefs par un disciple fidèle d’Apollonius, qui l’avait toujours suivi. Il paraît que l’imperfection de ces premiers travaux rendait désirable une refonte totale de son étrange récit.


Ce résultat sur Appolonios de Thyane ne pourra être conforté qu'à la lecture de cet article dont nous recommandons la lecture (incluant les notices bibliographiques dont celle de Maurice Magre )


http://fr.wikipedia.org/wiki/Apollonios_de_Tyane

De manière très claire, nous sommes possiblement ici en présence d'un des messages contenus dans l'énigme de Rennes-le-Château - ou si le lecteur veut bien le considérer ainsi une des strates - celle-ci en rapport avec la personnalité et l'oeuvre d'Apollonios de Thyane (magie cérémonielle - neo platonisme - plus tardivement alchimie- langue des oiseaux ).
Un lien sur la magie cérémonielle :

http://matemius.free.fr/index.php/articles/magie/voir-article/id,34/ 



Le lien avec la ville d'Ephese pourrait faire ici signe au lecteur qui m'aura suivi depuis le début...

Pour autant, devrions-nous achever ici notre périple ?
Et puisque nous sommes dans l'économie de moyens, en dire beaucoup avec le moins , serait-il envisageable que, par ce jeu de miroir auquel nous sommes conviés, le résultat Vigenère et 681, ne se limitât pas à ce premier constat ? 
J'ai écrit, lors de l'intervention précédente, relativement au lien nous dirigeant vers Le Songe de Poliphile ( oeuvre alchimique ) que, sans dénier ce sens donné, il n'était pas impossible qu'un second sens ne soit contenu dans le premier.
Au grand dam de celles et ceux pour qui l'affaire de Rennes-le-Château devrait se limiter au registre alchimique, je confirme cette éventualité.
Cet aspect-là fera l'objet d'une prochaine intervention.


De même, ici, lorsque nous considérons le résultat produit - 681 et Vigenère - nous remarquons le titre de cette partie de l'ouvrage page 681 - ainsi que son propos - PERSEUS - soit PERSEE;

Bien évidemment, le lecteur amateur de mythologie grecque pourra, s'il le souhaite approfondir,
et lorgner également du côté de la Constellation de Persée, fille naturelle du mythe, transposée sur le cosmos.
Et pourquoi pas y lire la déclinaison céleste, des Perséides :


http://fr.wikipedia.org/wiki/Pers%C3%A9ides

Ou larmes de saint Laurent...ainsi nommées en référence au martyr de saint Laurent : 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Laurent_de_Rome

Car ici, ami lecteur, cette correspondance nous mène - et nous pouvons admirer et demeurer pantois - comme je le suis souvent - devant le génie de nos initiés, nous sommes en présence d'un des éléments à même de résoudre un autre cryptogramme relatif à l'énigme de Rennes-le-Château, celui dit du " Sot pêcheur " !
PAX 681 ( contenu dans la résolution du cryptogramme du Grand Parchemin ) est  donc un indice pour aider à décrypter Sot Pêcheur !


Que voici :






Son poisson sur le gril deux fois retournasaint laurent c'est à dire de manière opérative :
                                                                      tnerual tnias



Le procédé à employer est ici celui de la substitution de lettre, comme il suit : au t  de saint laurent se substitue le s de saint - etc -


Ceci n'est qu'un des éléments ( il y en a trois ) pour déchiffrer le message.
Le premier est l'identité du Sot pêcheur = ville + métier.
Le second est celui que je viens de livrer.
Le troisième est d'une autre nature.


Possédant les trois, cela n'est pas si simple et j'avouerais ici mon échec - aussi, lecteur ou chercheur, voici un nouveau challenge que je propose :


Un travail collaboratif afin de résoudre ce cryptogramme - qui est tout sauf anodin et sans doute une clef essentielle.
Ce travail pourra se faire par échanges de mails - mais je ne livrerais les deux autres éléments qu'en totale confiance.
A vous de jouer !


Pour me contacter :


alain.clement19@yahoo.fr ( ne pas tenir compte d'un éventuel message d'erreur je reçois bien à cette adresse ).


En ce 23 février 2012 l'auteur alain C . . . . . h















mardi 21 février 2012

SAUT QUALITATIF II

Ainsi qu'annoncé lors du  début de notre intervention , quand nous évoquions l'Art de mémoire , en rapport avec les mécanismes de codification dont nous faisons état depuis plusieurs mois, nous répondrons aujourd'hui à la question posée : l'abbé Boudet nous entretient-il de cet arcane ?


Nous y répondrons positivement, en dressant un état des lieux au travers de quelques exemples significatifs.
Nous débuterons en illustrant notre propos de ce qui semble bien être une intentionnalité de la part de l'abbé Boudet.

Comme précédemment exposé l'Art de mémoire fait appel au procédé mnémotechnique, ou, en simplifiant à l'extrême et pour bien nous faire comprendre du lecteur, la faculté de restituer du sens par le fait d'avoir appris par coeur certaines données.
Cet arcane se décline sous l'appellation " Palais de mémoire " qui pourrait trouver son équivalence sous le terme catégorie, ou ensemble composite.
L'abbé Boudet, dans son essai, nous mets sur la voie, et ceci dès le début :
    
     Observations préliminaires

  " Préoccupé de mettre par écrit quelques remarques sur la station thermale de Rennes-les-Bains ou Dieu nous avait appelé à exercer le ministère paroissial, désireux de faire revivre d'antiques souvenirs..."

Car n'est-il pas un synonyme du mot mémoire que le mot souvenir ? 
Celui-ci est fort employé dans la Vraie Langue Celtique puisqu'il apparaît 20 fois, et c'est d'abord sur ce mot-clef que nous allons observer si ce sens que nous recherchons se révèle.

Les deux  pages pivot si nous pouvons dire, qui va nous indiquer que ces deux mots synonymes - mémoire et souvenir - se doivent d'être traités à part entière se trouvent page 171 et 172 :

Page 171 :

Les Druides n'écrivaient point les mystères de leur science : leurs nombreux disciples
 en obtenaient la connaissance, en
 appliquant leur mémoire à retenir le
 grand nombre de vers danslesquels
 la doctrine druidique était renfermée.
 En obligeant les jeunes gens à apprendre
 ainsipar coeur les sciences qui leur étaient communi-quées, " ils les empêchaient 
de se reposer sur" l'écriture
 et aussi de négliger l'exercice de la mémoire.Il arrive ordinairement
 en effet, que" l'on s'applique 
moins à retenir par coeur ce" que
 l'on peut apprendre au moyen des livres."
 Le fondement de leur doctrine est que
 les âmes" ne périssent pas... Ils traitent
 aussi du mouvement des astres, de 
la grandeur de l'univers et" du
 monde, de l'essence des choses, de
 la puis-" sance des dieux immortels, et 
enseignent ces" doctrines à la jeunesse. " (1)


page 172 :


On voit, par ces paroles de César, que le Neim-heid 
avait donné, avec grande justesse, à la ville 
des Redones, le nom de Condate, ce nom rappe-lant
 à l'esprit le souvenir des doctrines ensei-gnées, par les Druides, à la jeunesse
 gauloise,dont ils cultivaient l'intelligence et la mémoire.


Voici qui nous semble clair, et bel et bien soucieux de transmettre un message principiel.
Le renvoi bibliographique ( 1 ) page 171 et cité page 172  relève de la même volonté, et c'est bien sur les noms propres, le plus souvent de personnages historiques, et les dates du calendrier s'y rapportant que nous devrons effectuer le travail de décryptage auquel nous convie l'abbé Boudet.

Jules César est fortement mis à contribution en référence, c'est donc sur une date qui lui est propre que nous analyserons le sens à donner :

Sur la date anniversaire du décès de Jules César le 15 mars, nous trouverons deux correspondances significatives :

- Naissance le 15 mars 1713 de Nicolas Louis de Lacaille - astronome élève de Cassini, en juillet 1739, il participe avec Cassini de Thury à la mesure de la méridienne dans les Pyrénées à partir de Perpignan.
Pour demeurer dans notre propos, nous sommes ici dans le " Palais de la mémoire  " ayant pour sujet les indices géographiques, bien évidemment le lien avec le Méridien.

-Décès le 15 mars 1576 de Jacques Gohory - avocat, médecin et alchimiste de la Renaissance - fait remarquable dans ce jeu de miroir : un essai hermétique, la Vraie Langue Celtique - nous mène via ce personnage à un autre... Jacques Gohory fut, entre autres,  l'éditeur en France du fameux Songe de Poliphile, une référence en matière d'écrit hermétique :


http://books.google.fr/books?id=Nj_ML3fir6gC&pg=RA1-PA251&lpg=RA1-PA251&dq=jacques+gohory+15+mars&source=bl&ots=bZuYklMQ-k&sig=TqCV2j8C4Dq2YC6A5Bt7uOlCBR0&hl=fr&sa=X&ei=1IBDT-2XLpSLhQeNyeG2BQ&ved=0CDQQ6AEwAzgK#v=onepage&q=jacques%20gohory%2015%20mars&f=false

La logique voudrait, si notre oreille daignait entendre, que nous soyions ici en présence d'une strate relative à l'énigme de Rennes le Château s'orientant vers le mystère alchimique - le songe de Poliphile, étant de l'avis de certains auteurs, dont Fulcanelli, oeuvre spagyrique.
Ainsi que nous l'écrivions auparavant, il y a quelques semaines de cela, nous ne nous interdisons nullement de 
promouvoir l'idée selon laquelle l'énigme des deux Rennes ne soit composée de strates différentes et différenciées - dont une aurait trait à l'art alchimique.
Donc, nous pensons légitime d'écrire que nous sommes ici en présence du " palais de mémoire " lié au Grand Oeuvre.
Ceci, tout en préservant l'idée que l'abbé Boudet est d'une redoutable efficacité pour jouer des indices et dissimuler une strate sous une autre....Il y aurait donc ici une surdétermination du " code " un résultat en contenant un autre - pour en être certain seule une lecture du Songe de Poliphile pourrait infirmer ou confirmer cette hypothèse.
Et peut-être cette page en est-elle  l'illustration quand nous considérons que nous débutons notre cheminement à partir de Jules César :


http://books.google.fr/books?id=LTo-AAAAYAAJ&pg=RA1-PA10&lpg=RA1-PA10&dq=le+songe+de+poliphile+et+souterrain&source=bl&ots=S1vvZI9BCI&sig=UrwIcuRMICl3KtiswVF_iVKWRkw&hl=fr&sa=X&ei=RIdDT9jeOYa_0QWNt9iPDw&ved=0CCwQ6AEwAg#v=onepage&q&f=false
 Ainsi que le lecteur le perçoit, le jeu qui se déploie ici est d'une grande richesse d'information, et dans le pur respect de l'économie de moyens dont nous avons déjà fait part.

Second exemple ou le lecteur pourra s'il le souhaite valider le fait que les éléments qui suivent ont été précédemment portés à sa connaissance :

Mot souvenir - page 9 de la Vraie Langue Celtique - référence citée :

" Sir William Jones, fondateur de la Société asiatique de Calcutta"
 Dates  en correspondance : sir william Jones  naissance le 28 septembre 1746 -
 28 septembre 1698 naissance de Pierre-Louis Maupertuis ( voir église Saint Roch )


Décès de sir william Jones 27 avril 1794 - 
Le 27 avril est fêté saint Amédée de Savoie dont la fête majeure se situe le 30 mars.
Le 30 mars renvoyant sur la date anniversaire de naissance de Maïmonide...

Troisième exemple : 
Page 172 de la Vraie Langue Celtique - mot souvenir - l'abbé Boudet nous entretient des Redones et de Condate - nous dirigeant cette fois vers une thématique majeure dans son essai, relativement à Rhedae - ancien nom du village de Rennes le Château - qui signifie la cité des chariots - sachant que la tribu des Redones signifie conducteurs de chariots ( ce dont nous entretient par ailleurs l'abbé Boudet de façon suggestive page 233 concernant l'étymologie du lieu dit Carlat - développement qui s'achève sur la référence aux Redones ).
Il sera intéressant de noter par ailleurs l'insistance de l'abbé Boudet pour associer dans son essai le nom de cette tribu aux pierres levées, menhirs , et cromleck...


Le nom de Rennes dérive d'une tribu des Redones, dont le nom, selon A.J. Raude, aurait signifié conducteurs de chars et serait lui-même dérivé d'une vieille racine en rod, la roue; le breton en a fait Roazon. Il est de fait que Rennes est très tôt apparue comme un carrefour, et s'est trouvée au centre d'une étoile de huit routes romaines. Elle prit alors le nom de Condate, confluent; la ville romaine était précisément dans l'angle formé par la Vilaine et l'Ille, au NE du confluent.

N'obéissant qu'à notre logique de correspondance en terme de calendrier, nous nous dirigerons d'un pas réfléchi vers le calendrier républicain, le jour du chariot , c'est à dire le 18 juin.


Avant d'aborder ce fil d'Ariane, que le lecteur veuille bien retenir qu'ici nous sommes dans un registre pragmatique, dont l'objectif est de faire signe :

18 juin 1429 - victoire des troupes sous le commandement de Jeanne d'Arc à  Patay.
C'est à partir des dates associées à Jeanne que le message se déploie.
Jeanne d'Arc meurt sur le bûcher le 30 mai 1431, à Rouen.
30 mai 1800 : naissance de Henri de Bonnechose, que nous ne présentons plus.

Jeanne d'Arc, dont nous venons de fêter le 600 ème anniversaire,  serait présumée née le 06 janvier 1412, à Domremy,  c'est dans tous les cas la date retenue par de nombreux historiens. 
Or, le 06 janvier est dans le calendrier républicain le jour de la marne ou pierre de France...

Fête de l'épiphanie dans le Christianisme - les Rois Mages - voir le 06 janvier 1892 et collage des Rois Mages de l'abbé Saunière...

C'est aussi le 06 janvier  1822 la date de naissance d'un archéologue allemand, qui, en son temps fit couler beaucoup d'encre, fut vilipendé par les sommités auto- suffisantes de l'époque ( ce clan là est hélas une catégorie qui a le mauvais goût de se reproduire ) ceci, en dépit ou bien à cause de ses nombreuses découvertes, dont la plus intéressante, pour ce qui nous concerne , sera celle du trésor de Priam, comme nous l'indique cette plaque, le 30 mai 1873 !
( d'autres sources indiquent le 31 mai )


http://www.gemeinde-kalkhorst.de/Schliemann.html

Nous ne craignons pas d'affirmer que l'intentionnalité liée à ce nouveau " Palais de mémoire " ne s'inscrive ici en référence aux fouilles opérées par Heinrich Schliemann, pour mettre au jour le trésor de Priam.
Cette référence est compatible :
- en terme de temps - découverte en 1873 - édition de la Vraie Celtique en 1886 - 
- en terme de nature - " trésor " archéologique.


Et, pour peu que nous souscrivions à ce signe que nous adresse l'abbé Boudet, nous pourrions ici évoquer le terme de " modèle "...Pour qui sait lire et comprendre...


Nous pourrions multiplier à l'envi les exemples - résultats en écho aux deux mots clefs " mémoire"
et " souvenir " ( que nous avons par ailleurs investigué en totalité ) mais nous choisirons de demeurer sur ces trois exemples qui nous semblaient être les plus bavards en terme de sens.

Nous poursuivrons - peut-être - sur un autre élément lié à l'énigme de Rennes-le-Château - PAX 681 dont nous proposerons une lecture pour le moins édifiante.

En ce 21 février 2012 - l'auteur alain C . . . . . h


















jeudi 16 février 2012

SAUT QUALITATIF

Que le lecteur veuille bien excuser notre absence temporaire due à un surcroit d'activité annexe.
Etant seul maître à bord, nous ne poursuivrons pas, comme annoncé précédemment, sur la rue Visconti de Paris,dont la lecture mérite quelque réflexion.
Cette destination fera sans doute l'objet d'un rajout dans le futur essai à venir.


Poursuivant nos recherches en temps réel, et focalisant sur la Vraie Langue Celtique de l'abbé Boudet, dont la lecture que nous pouvons en faire s'enrichit de manière perceptible, ainsi que le lecteur en prendra connaissance bientôt, il nous a semblé utile de faire part d'une découverte qui, sur le plan qualitatif, jouera sans doute dans les temps futurs un rôle prépondérant.


Nous allons pour cela nous diriger page 179 de la Vraie Langue Celtique, ou il sera question de l'étymologie de la ville de Lyon :


" Ces mots dérivent du celtique
" dun, qui signifiait une
" éminence, une colline, ainsi que nous l'apprend
" Clitophon dans un traité attribué à Plutarque "



Il y a ici une de ses subtilités dont l'abbé Boudet est coutumier, jouant sur l'homonymie pour mieux dissimuler le message réel destiné au chercheur, en effet Clitophon peut renvoyer dans le contexte de la Vraie Langue Celtique sur :


" Clitophon né à Rhodes, décrivit aussi la Géographie de plusieurs pays; entre autres celle d'Italie & des Gaules; ouvrages qui se sont perdus, & qui seroient pour nous fort intéressans. Il avoit aussi mis au jour la description des Indes, dont Plutarque & Stobée ont fait mention. " Auteur de traité sur l'étymologie des noms de lieux ainsi qu'indiqué. "


Mais aussi sur le fait que :

Clitophon est un dialogue d'authenticité douteuse attribué à Planton, l'intérêt de ce dialogue réside vis à vis de l'énigme qui nous occupe dans un lien intrinsèque à ce dialogue.
A savoir :

(410a-b) : Lorsque Socrate définit la justice, il cite Simonide de Céos, que Clitophon combat.
Simonide de Céos était un poète lyrique grec dont l'Histoire retient le nom pour être à l'origine d'une discipline d'une richesse incomparable dont le lecteur voudra bien prendre connaissance avant de poursuivre :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Art_de_m%C3%A9moire


Naviguant en des eaux hermétiques, voire occultes, le lecteur pourra également s'imprégner de cet exposé érudit et illustratif :


http://jacky.lorette.pagesperso-orange.fr/chasse/22-%20L%27Art%20de%20la%20m%E9moire.htm

Maintenant, j'invite le lecteur à méditer quelque peu sur la méthode principale dont nous avons fait part depuis des mois, méthode ou procédé reposant essentiellement sur les correspondances de dates, ceci au travers de diverses modalités, provenant de diverses sources, et qui, au fur et à mesure de l'avancée de mes travaux, se recoupaient, et finissaient par former des signifiants, dans des registres différents - nature du ou des dépots,
longitude et il suffira ici au lecteur d'appréhender les nombreuses correspondances relatives au Méridien de Paris dans mes écrits , jeu de transposition géographique, etc...


En clair, le procédé mis en lumière par les soins de votre serviteur relèvent de l'Art de Mémoire, nonobstant le fait qu'ici le jeu est inversé...
L'Art de Mémoire associe en effet des lieux ( locis )  à des idées fortes ou concepts. Ici, vis à vis de l'énigme de Rennes-le-Château, nous pourrions dire que l'exercice de cet Art va associer des dates du ou des calendriers utilisés, en effet miroir ou en correspondances ou en écho -  dans l'objectif de mener à un lieu bien précis.
Cela, pour le registre dans lequel nous nous plaçons et dans lequel nous nous situons de manière temporelle :
la découverte du dépôt de Rennes-les-Bains.
Les exemples pourraient être multipliés dans la thèse que nous avons avancé précédemment, nous choisirons celui-ci, qui nous semble d'une clarté absolue :


Il est passé en faisant le bien - A celui qui passe de faire le bien - deux citations dans deux sources différentes renvoient, nous l'avons signalé en son temps, à la conversion du centurion Corneille par l'apôtre Pierre, et donc, en matière de calendrier à une date qui est celle du 02 février.
Date étroitement liée au message des Bergers d'Arcadie de Nicolas Poussin...et à un lieu.
Le procédé mnémotechnique mis en oeuvre ici était donc, à partir de cette citation, d'englober, de manière invisible pour le profane, mais claire pour l'initié, ce message.
Ainsi, nous affirmerons que la référence aux douze palais dans la Vraie Langue Celtique de l'abbé Boudet, référence reprise par Pierre Plantard dans sa préface, signifie douze palais de mémoire.
Chacun d'entre eux composé d'autant de correspondances de dates que nécessaires...
Pour ce qui concerne l'Art de mémoire, le lecteur ou chercheur curieux pourra trouver des lien entre l'exercice de cet art et le tarot ou l'astrologie...A charge pour lui de décrypter, par exemple dans les peintures du Tarot de Pierre Plantard, le message qui y est dissimulé.


Pour autant, et ici, nous nous situerons dans la spéculation : le lecteur averti qui m'aura accompagné jusqu'ici et suivi depuis quelques mois, pourra observer que nous avons également mis en avant un certain nombre de points géographiquement disposés, la plupart étant sous la forme de Croix ou calvaires, mais pas que , sur un territoire plus large dépassant la seule réalité des deux Rennes.
La Croix Rouby de Couiza, comportant des dates, et sur laquelle nous avons pu travaillé et rendre compte, participe de cette singularité.
Il est probable que, concernant cette architecture invisible disséminée sur le territoire, nous soyions là en présence d'un mystère qui dépasse le seul cadre du trésor monétaire et ou historique, cadre dans lequel je m'inscris, et sur lequel je n'ai plus guère de doutes quant à son existence réelle, mais face à un projet et une intentionnalité sans doute fantastique, sur lequel je ne me prononcerais pas, mais qui ouvre des perspectives prometteuses...


D'aucuns ont émis l'idée d'une géographie sacrée, qui serait un des registres de l'énigme de Rennes-le-Château.
Il est possible que cette thèse puisse trouver son illustration et son explication en raisonnant selon cet Arcane qu'est l'Art de mémoire.


A suivre - l'abbé Boudet nous entretient-il de l'Art de mémoire ?


En ce 16 février 2012 - l'auteur alain C . . . . . h

vendredi 3 février 2012

LA PREFACE PIERRE PLANTARD VI

DE LA COMTESSE DE CAGLIOSTRO A LA PIERRE ALCOR.


Nous étudierons aujourd'hui les liens pouvant se tisser entre d'une part la préface de Pierre Plantard à la Vraie Langue Celtique et le roman  de Maurice Leblanc dans une des aventures de son héros fétiche, initié au grand secret : La comtesse de Cagliostro.


Pierre Plantard s'y réfère très clairement dans sa préface en y incluant le maître-mot de cette aventure lupinesque la pierre Alcor, dénommée ainsi d'après la célèbre formule latine :
Ad Lapidem Currebat Olim Regina (la reine courait autrefois vers la pierre). Il nous paraît utile pour une bonne compréhension de ce qui va suivre de situer l'action du roman et ses principaux référents :


http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Comtesse_de_Cagliostro


Fidèle à notre démarche, nous observerons tout d'abord si les protagonistes historiques et les dates leur correspondant peuvent nous apporter quelque éclaircissement.
Joséphine Pelligrini-Balsamo née le 29 juillet 1788 -
En correspondance sur cette date du 29 juillet :
a ) Naissance de Fabre d'Eglantines - inventeur du calendrier républicain.
b ) sainte Marie de Bethanie fêtée le 4 juin par les orthodoxes.
c ) sainte Marthe de Bethanie
d ) saint Lazare de Bethanie


Joseph Balsamo décédé le 26 aout 1795
En correspondance sur cette date du 26 aout :
a ) sainte Mariam équivalent  arabe de Myriam, donc Marie de Nazareth.
b ) 26 aout 1728 naissance de Jean-Henri Lambert - Pour celles et ceux ayant quelque connaissance avec la cartographie , il est connu pour être l'inventeur de plusieurs systèmes de projection cartographique, dont la fameuse projection Lambert. Que ce nom soit associé à notre énigme de Rennes-le-Château ou la cartographie joue un si grand rôle ne doit rien au hasard.


Joséphine de la Pagerie dite Joséphine de Beauharnais - 1ere épouse de Napoléon 1er.
Décédée le 29 mai 1814
En correspondance sur cette date du 29 mai :
Naissance en 1716 de Louis Jean-Marie Daubenton ( voir sa tombe au jardin des Plantes et la présence du méridien sonore que nous avions déjà signalé ).


Voici pour les correspondances de dates, qui, chacune dans leur registre, entretient quelque lien avec notre énigme ( saint et sainte - Bethanie - Cartographie - Méridien)


Nous déclinons maintenant à partir de Joseph Balsamo et son lien avec l'affaire du Collier de la Reine, qui impliqua également le Cardinal de Rohan né le 25 septembre 1734, et compromit la réputation de la Reine Marie-Antoinette en 1785.
En correspondance sur cette date du 25 septembre :


- 25 septembre 1777 date de décès de Jean-Henri Lambert que nous venons d'évoquer par rapport à sa date de naissance.


L'affaire du Collier de la Reine -une date-clef  lui est associée le 1er févier 1785 , journée durant laquelle le Cardinal de Rohan va signer les 4 traites de 400 000 livres.


A cette date du 1er février que nous avons déjà signalé dans nos précédents travaux nous aurons en correspondance :
-fête celtique d'Imbolc fêtée aussi le 2 février ( voir chapitre Parenthèse enchantée ).
-naissance en 1462 de Jean Trithème :


http://fr.wikipedia.org/wiki/Johannes_Trithemius


Dans une énigme ou la cryptographie et autres procédés d'occultation sont si prégnants, nous ne pouvions faire l'économie de ce lien - fort heureusement Maurice Leblanc y pourvoie, de mêmes que pour les autres correspondances de dates qui ont déterminé et guidé son choix.


Mais comme nous allons l'observer maintenant, le roman de Maurice Leblanc, la Comtesse de Cagliostro, détient encore d'autres clefs, encore plus  signifiantes et significatives, traduisant bien une volonté de dire , et de mon point de vue, qui, je le souhaite, sera partagé par le lecteur, mais je ne conçois pas comment il pourrait en être autrement, de dire l'essentiel.


Souvenons-nous que dans la Comtesse de Cagliostro sont exposées quatre énigmes, dont celle-ci :


In robore fortuna [la fortune est au cœur du chêne]-


Et que la formule qui est le pivot du roman s'articule autour de la pierre ALCOR.


Or, et ceci sans doute ( outre le lien avec l'étoile de la Grande Ourse ) explique la présence de cet élément ALCOR, d'une part par Maurice Leblanc, d'autre part par Pierre Plantard, plus tardivement, s'il nous vient l'idée d'anagrammer ALCOR, nous aboutissons à CORAL, qui, en occitan a une signification précise :


 "Le nom est porté dans les Landes et les départements voisins (32, 33). Il désigne celui qui habite un lieu-dit (le) Courau, nom de plusieurs hameaux des Landes et de la Gironde. Sens probable : lieu marqué par la présence d'un chêne remarquable (les mots "coral", "corau" sont attestés avec le sens de "coeur de chêne", puis "chêne")."


La fortune est dans le chêne = la fortune est dans le coeur du chêne !

Confirmation sur ce lien :


http://ducange.enc.sorbonne.fr/CORALLUS


Nous aurions ainsi une double entrée sur le chêne, suivant notre logique nous allons nous diriger vers le jour du chêne dans le calendrier républicain qui est le 21 avril, et ici nous renouons avec des données connues et dont nous avons déjà fait part.
Et si la fortune est au coeur du chêne, les entrées correspondant à ce jour sont à observer avec la plus grande attention.
L'une des correspondances avec le 21 avril étant en rapport avec la date de décès de Jean Racine.
Ici, nous devons au lecteur d'apporter un complément vis à vis de ce que nous écrivions à l'époque.


Un élément nous avait jusqu'alors échappé, captivé que nous étions par la redondance sur Pierre Corneille, nous pensions que les entrées de dates produites avec Jean Racine comme résultat était en lien avec son confrère.
C'était faire fi du génie à l'oeuvre et l'impasse sur d'autres entrées non moins remarquables !
Il est utile ici de nous déplacer vers la rue parisienne dont un immeuble accueillit les derniers instants du dramaturge.

extrait du site http://protestantsdanslaville.org :

la rue Visconti


Un des avantages de la rue qui a pu attirer les protestants est la double juridiction dont elle bénéficiait. En effet, la parcelle du petit Pré-aux-Clercs appartenait à l'Université et s'étendait sur la moitié ouest du terrain allant de la rue Jacob à la Seine et de la rue de Seine à la rue Bonaparte. A l'est, 7 maisons relevaient de l'Abbaye. Les protestants firent communiquer leurs demeures par des ouvertures secrètes, de telle sorte qu'il était possible de passer d'une juridiction à l'autre sans être aperçu de la rue.
La double juridiction de la rue n'était pas le seul attrait du quartier. A l'époque, les constructions n'étaient pas nombreuses, et celles qui y étaient bâties, maisons de campagne ou tuileries rustiques, n'empêchaient pas « la vue de s'y reposer sur la verdure des champs et des pâturages qui s'étendaient au loin le long de la rivière ». On n'y entendait pas ce murmure fatigant de la foule affairée, se pressant dans les rues étroites de l'intérieur de Paris, et l'attention n'y était pas distraite par les cris de toute sorte dont retentissaient les quartiers industrieux.

En effet il sera utile de se remémorer le stratagème utilisé par Maurice Leblanc dans la Comtesse de Cagliostro en rapport avec la pierre ALCOR  :

La piste des sept abbayes du pays de Caux reliées entre elles dessinerait la Grande Ourse et permet de retrouver l'étoile d'Alcor.


Sept abbayes d'un côté, sept maisons relevant de l'autorité de l'Abbaye de Saint-Germain des Prés de l'autre.
En terme de parallèle la chose est remarquable.


Maintenant que nous avons identifié cette rue, la raison impose d'observer quels habitants remarquables y ont habité.
Nous avons déjà évoqué Jean Racine.

Nous remarquons la présence d'Eugène Delacroix au n° 19.
Au n° 16 Adrienne Lecouvreur tenait salon.
Et si d'aventure, nous prenait l'envie de quérir des correspondances en terme de dates :

Adrienne Lecouvreur - née le 5 avril 1692 -
Dates en correspondances :
a ) 5 avril 1532 naissance de  Blaise de Vigenère -cryptographe - alchimiste dont le chiffre - le carré de Vigenère  fut utilisé pour décrypter un des documents liés à notre énigme de Rennes-le-Château.
b ) 5 avril 1794 - date de décès de Fabre d'Eglantines ( seconde entrée  )


Adrienne Lecouvreur décès le 20 mars 1730.
Date en correspondance :
20 mars 1727 - décès d'Isaac Newton ( présenté comme l'un des Nautoniers du Prieuré de Sion.)


Nous observons que cette dame recevait d'illustres invités :
Maurice de Saxe - né le 28 octobre 1696
Dates en correspondance :
28 octobre 312 - Victoire de Constantin 1er au pont de Vilnius - IN HOC SIGNO VINCES ! (formule liée à l'énigme de Rennes le Château )
28 octobre 1883 décès de Henri de Bonnechose ( homme d'église lié à l'énigme de Rennes le Château )  
Le 28 octobre est fêté un saint Arsène
Saint Arsène de Pecs En Serbie (+ 1266)

Voltaire -décédé le 30 mai 1778
Date en correspondance :
- naissance le 30 mai 1800 de Henri de Bonnechose.

Joseph Gaspard Dubois Fontanelle décédé le 15 février 1812
Date en correspondance - Eglise orthodoxe - fête de la Chandeleur correspond au 02 février en Occident ( sur ce sujet voir notre étude sur les Bergers d'Arcadie ).


Voici un premier exposé clinique de ce nouveau point d'entrée qu'est la rue Visconti.
Au lecteur non averti, il me paraît indispensable de préciser de nouveau quel est le cheminement de ma pensée relativement à notre énigme -
Pour faire simple, toutes ces correspondances ou effet miroir doivent être lues dans le sens qui est celui-ci : des évènements liés à des dates, comme par exemple la Croix de Constantin dont nous allons retrouver la présence dans l'église de Rennes le Château , ou des personnalités auxquelles nous nous référons pour les actes marquants de leur existence ( naissance, décès, évènements remarquables ) n'existent et ne sont là et n'ont été exploitées que dans un unique but : définir un lieu , en longitude et en latitude .
En clair , si les "chercheurs " n'ont pas encore compris, nous sommes dans un jeu de pistes !

Si nous évoluons beaucoup en territoire parisien c'est parce que celui-ci a été utilisé, et sans doute ne connaissons-nous qu'une partie d'un plan certainement plus vaste, afin de modéliser ce qui est dans le Razès, entre autre sur le territoire de Rennes-les-Bains. 
Ainsi nous avons déjà précisé que l'église Saint-Roch de Paris, ainsi que l'entrée des catacombes, présentaient la même longitude qu'un site de référence qui est sur le territoire de Rennes-les-Bains ( quand je dis la même c'est la même ).
Ce site de référence étant le point de départ et non d'arrivée....
Je n'expose  et n'exposerais ici que ce qui concerne la longitude.
Nous poursuivrons dans les jours prochains notre étude de la rue Visconti - d'autres surprises nous attendent - et nous établirons certains liens avec ce que dit Pierre Plantard dans sa Préface.

Certains pas tous - car tout est dit dans sa préface  - et je peux vous assurer que c'est du grand art, que l'on apprécie ou non le personnage...


En ce 03 février 2012 - retard d'un jour sur la date du 02 - l'auteur alain C . . . . . h