lundi 10 février 2014

RETOUR

Ami lecteur bonjour,


Je me fais rare ...
Pause nécessaire.


Certains le déplorent, d'autres le souhaitaient...
Je ne vais pas me perdre en regrets, en lamentation, oh mon dieu mon dieu personne ne me comprend ...


Donc, droit au sujet !


Depuis que je me suis penché sur cette affaire, au-delà de ce qui peut être dissimulé  ( la nature du  "trésor " ) , je n'ai eu de cesse , à l'instar de nombre ce chercheurs, de traquer comme on le ferait d'une proie invisible, les indices qui pourraient conduire au lieu, ou du moins l'un des lieux sacrés renfermant une part du secret.


Dans le passé je me suis avancé en affirmant certaines ce qui demeure, au jour d'aujourd'hui, comme hypothétiques.
Le futur nous dira si l'hypothèse se confirme ou s'infirme.


Dernièrement, j'ai été attiré par ceci :


http://tresormontsegur.wordpress.com/2013/01/03/elements-de-concordance-2/


Je ne porterais aucun jugement sur cet exposé, hormis ce détail qui, de mon point de vue , mérite toute notre attention :


"Le berger accroupi montre alors le mot Montferrand (3), qui est le hameau le plus proche de la cache."


Le lecteur fidèle qui me suit comprendra le vif intérêt que je porte à cette mention étant donné que l'une des deux pistes géographiques que je suis se situe aux abords du hameau de Montferrand, plus précisément en lien avec le ruisseau du Coudal.
Ce qui est très important ( voir dans mes archives ) ainsi que je l'avais souligné en son temps est que d'autres chercheurs - par d'autres voies - parviennent au même résultat géographique.


Bien évidemment, j'ai repris cette piste...


Il paraît opportun que notre sympathique chercheur notifie La Vraie Langue Celtique de Boudet, puisque c'est sur cet ouvrage que nous allons réfléchir, si vous le souhaitez.


Le ruisseau du Coudal, dans l'ouvrage de l'abbé Boudet porte le nom de Coural.
De mon point de vue , faute d'orthographe volontaire.
Coural en langue occitane signifie piment.
Sachant que la grille de lecture que j'exploite depuis des années s'articule et se déploie autour de l'exploitation de dates ( indices ) ceci sur plusieurs calendriers ( Julien - Grégorien - Juif - Républicain ) je suis parvenu à la date du 18 octobre, jour du piment dans le calendrier républicain.
Ce jour nous trouvons en correspondance une œuvre théatrâle " Le devin du village "


http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Devin_du_village


Le 1er mars 1753 rentre ici en collision avec le 1er mars 1555 première publication de Maître Nostradamus.


Mais reprenons notre Fil directeur, nous allons donc nous rendre sur la page contenant ce mot Coural dans l'ouvrage de l'abbé Boudet.


Page 243 - pagination que nous allons traduire en date ( voir dans mes archives les occurrences entre certaines numérotations de pages et certaines dates clefs - exemple le mot Lune et le programme Apollo de la NASA )...


24 mars  - John Harrison est né dans la ville de Foulby le 24 mars 1693
http://lewebpedagogique.com/sciencesnomades/2009/03/18/horloges-et-longitude/


Ce qui nous intéressera ici est bien évidemment les travaux sur la longitude de Sir Harrison.


Revenons maintenant au Devin du village :


Le Devin du village
Image illustrative de l'article Le Devin du village
Édition de 1753


AuteurJean-Jacques Rousseau
GenreOpéra
Pays d'origineFrance
Lieu de parutionParis
ÉditeurVve Delormel & Fils
Date de parution1753
Le Devin du village est un intermède (petit opéra) en un acte de Jean-Jacques Rousseau (paroles et musique), représenté le au château de Fontainebleau devant Louis XV et la cour, et le 1er mars 1753 à l’Académie royale de musique de Paris, avec Pierre de Jélyotte dans le rôle principal, Cuvillier dans le rôle du Devin et Marie Fel dans le rôle de Colette.


La salle dans laquelle s'installa l'Académie royale avait été construite en 1637 par Jacques Lemercier. Elle était située dans l'ancien Palais Cardinal, construit rue Saint-Honoré par Richelieu, et devenu Palais Royal à la mort de ce dernier, en 1642. Située juste à côté de la cour d'entrée du Palais Royal, elle avait été inaugurée en 1641 avec "Mirame", une tragi-comédie écrite par Richelieu lui-même.
Molière s'était installé au Palais Royal avec sa troupe en 1661 à l'initiative du roi, la salle du Petit-Bourbon qu'il occupait précédemment, étant détruite pour construire la colonnade du Louvre. En amphithéâtre, elle pouvait recevoir 1 200 spectateurs sur vingt-sept gradins. Pour la reprise de "Psyché", en 1671, Molière avait fait refaire le plafond, établir des loges au balcon, créer un parterre debout et ménager une place pour un orchestre. La scène avait été agrandie, et surélevée pour abriter la machinerie.
Lully y établit l'Académie royale de musique en mai 1673. Vigarani y effectua des travaux visant à rapprocher le théâtre du modèle italien : trois rangs de loges, un amphithéâtre fortement incliné et un système de décor sur panneaux coulissants accentuant l'effet de perspective. La salle pouvait accueillir plus de 2 000 personnes.




De mon point de vue , mais il semble que je ne sois pas le seul à le penser et à l'écrire, il y a dans cette énigme une idée de transposition géographique , les référents auxquels certains indices mèneraient ( ici géographiquement à Paris ) devant être transposés sur le terrain de l'Aude, et plus précisément à Rennes-les-Bains.


Longitude du Palais-Royal à prendre donc en considération.
Le lecteur curieux et patient pourra vérifier que j'étais déjà parvenu, par d'autres voies, sur ce même lieu, et donc sur la même longitude.


Pour être tout à fait honnête, depuis des années, ce qui me pose problème n'est pas tant ce point de longitude, que le point de latitude.


Aussi, tout dernièrement, je me suis remis en quête : et si dans son ouvrage l'abbé Boudet nous avait laissé quelque indice  ? Le mot-clef latitude ne donne aucun résultat - c'eût été trop simple, trop évident.
A contrario, il existe dans la Vraie Langue Celtique un synonyme de latitude, et sachant notre abbé prompt à jouer des mots, je me dirige vers cette piste - page 198 / entrée unique sur ce mot


Il y a encore une erreur fort sensible dans l'affirmation de Guillaume de Catel, opposant la langue d'Ouy au Languedoc, car le Languedoc est ordinairement mis en parallèle, par les divers auteurs, non pas avec la langue d'Ouy, mais bien avec la langue d'Oïl, ce qui constitue une diffé-rence considérable. 







Image montrant les principaux parallèles de la Terre ainsi que l'incidence des rayons solaires au moment du solstice d'hiver
Sur Terre, un parallèle est un cercle imaginaire reliant tous les lieux situés sur une même latitude.


Ou cela devient bigrement intéressant, c'est lorsqu'on retient la mention de Guillaume de Catel...


http://www.renneslechateau.it/panel_08.pdf


Voici qui nous rapproche du sujet.


UN élément, dans l'existence de Guillaume de Catel est à souligner, si nous sommes bien en présence d'un indice menant à la latitude :


http://fr.wikipedia.org/wiki/Guillaume_Catel




Du Capitole au parlement de Toulouse, on s’inquiéta des troubles à l’ordre public et de son influence sur la jeunesse. Arrêté en novembre 1618 par l’Inquisition, il est accusé d’être athée et d’avoir des mœurs contre-nature[1]. Le procureur Guillaume Catel eut bien du mal à prouver qu’il était hérétique tant la défense de Lucilio montrait sa dévotion à l’Église catholique. Après un long délibéré, Lucilio Vanini, dit Pomponio Uciglio, fut convaincu de blasphème, impiété, athéisme, sorcellerie et corruption de mœurs. Condamné à avoir la langue coupée, à être étranglé puis brûlé le 9 février 1619 sur la place du Salin, le hurlement de Vanini fut, de mémoire de Toulousain, le plus horrible[2]. Le procès fut instruit et la condamnation prononcée par le parlement de Toulouse, non par l'inquisition, contrairement à ce que demandaient ses partisans : une condamnation par la juridiction de l’inquisition n’eût entraîné que des peines canoniques.


Pour qui connaît l'environnement de Rennes-les-Bains et son rapport au sel le lien devient ici évident :
Le Salin est un quartier du centre ville de Toulouse.


Vieux quartier toulousain, traversé par le cardo romain (l'axe nord-sud), le Salin s'organise autour de la place du même nom. Il tire son nom du salin royal, lieu de perception du droit sur le sel. Avant les dégagements du XIXe siècle, il y avait une carr. Salini, partant de la platea Thesaurarie, place de la trésorerie, vers le carrefour du Salin et la place de l'Inquisition. La place du palais et la place de la trésorerie, unies par la démolition des moulons qui les séparaient ont constitué la place actuelle.
Les quartiers voisins, de Saint-Étienne et de la Dalbade abritaient les nombreux hôtel particuliers des avocats et conseiller en parlement. Au sud, après la porte Narbonnaise, hors des anciennes limites de la ville, le faubourg Saint-Michel s'est développé la long de la Route de Narbonne.
La chapelle disparue de Saint-Barthélemy, en regard de l'Inquisition des Dominicains, a donné son nom au capitoulat de Saint-Barthélemy, dont Jean Saliné fut capitoul en 1595.


L'essentiel, qui justifie ma démarche, résidant dans la précision suivante " traversé par le Cardo l'axe Nord Sud romain "


Et s'il n'est pas question de latitude ici, alors de quoi parlons-nous ?


La piste s'interrompt ici pour l'instant...Il nous reste une étape à franchir que je n'ai pas franchi.


J'y réfléchis...


En ce 11/02 l'auteur alain COCOUCH




1 commentaire:

  1. "De mon point de vue , mais il semble que je ne sois pas le seul à le penser et à l'écrire, il y a dans cette énigme une idée de transposition géographique , les référents auxquels certains indices mèneraient ( ici géographiquement à Paris ) devant être transposés sur le terrain de l'Aude, et plus précisément à Rennes-les-Bains."

    Je pense qu'il existe une (ou plusieurs ?) autres caches en remontant le long du méridien en France. S'il y a un aspect "géométrique" à une "grille" planétaire de points d'énergies (éventuellement le Canigou ?) cela semblerait logique.

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