Aussi, pour ton agrément, je le souhaite, poursuivrons-nous notre voyage en terre désormais connue, celle du Razès, et des mystères qui l'habitent.
C'est encore une fois vers Maurice Leblanc, dans une des aventures d'Arsène Lupin, que nous tournerons nos regards.
813 - puisque c'est de ce roman et du message qui y est caché que nous allons vous entretenir est une oeuvre plutôt noire - 1910
Le lecteur qui me suit avec quelque insistance sait quelle importanve j'attache à la mécanique de concordance de dates du ou des calendriers.
Pour celui qui me découvre ou pour lequel ladite mécanique se révèlerait hermétique, voici en quelques mots comment cela fonctionne :
- choix d'une date du calendrier par un auteur - laquelle date devra être antérieure, au niveau des résulats qu'elle produit, à l'oeuvre de l'auteur.
Exemple : pour un roman paru en 1910 - il ne sera pas admis d'occurences postérieures - un évènement datant de 1914, ou un personnage décédé en 1914.
Le principe : une date choisie ne l'est jamais par hasard - celle-ci conduit à une entrée signifiante,
porteuse de sens, un indice ; il appert que ce système puisse se révéler d'une grande richesse
d'informations, mais aussi, que celui-ci puisse fonctionner à la manière des poupées russes, la plus grande ou la première entrée contenant d'autres poupées. Ce n'est jamais qu'une application du fil d'Ariane.
Maintenant que ce préalable est exposé, passons à l'aspect pratique.
Chapitre V de 813 - Charlemagne :
" Sa propre puissance le grisa un moment. Il eut des larmes aux yeux, en songeant à son triomphe.
L’étranger s’arrêta.
Et tout de suite, dès la première phrase, on fut au cœur de la position.
— C’est demain le 22 août. Les lettres doivent être publiées demain, n’est-ce pas ? "
Il convient maintenant de travailler sur cette date du 22 aout.
En 1862 , nous trouverons le 22 aout, naissance de Claude Debussy, dont certains avancent la présence auprès de Béranger Saunière à Rennes-le-Château.
Mais peut-être cette " information " là en cachait -elle une voire deux autres :
- http://fr.wikipedia.org/wiki/Raymond_de_Boisgelin
Ici deux éléments qui ne peuvent que faire signe - la nomination au titre de Cardinal un 17 janvier et le fait que ce prélat fut évêque de Lavaur.
Lavaur étant un des deux composants du message désignant le site de la cache par son étymologie - ruisseau caché.
Seconde information :
Le 22 AOUT 1601 date du baptème - et non de la naissance ainsi qu'improprement spécifié sur certains sites internet de Georges Scudéry - écrivain de son état - auteur entre autres oeuvres de :
- ALARIC ou Rome vaincue ( poème épique ).
Vis à vis d'une énigme trésoraire dont une des pistes mène au trésor des wisigoths du Roi Alaric, il serait difficile d'être plus clair.
C'est au chapitre suivant - Les lettres de l'empereur - que Maurice Leblanc va déployer tout son talent.
Ainsi que nous allons le démontrer cinq dates apportent une somme d'informations considérables.
"Il lut, tout au début :
« Journal du chevalier Gilles de Mairèche, domestique français de son Altesse Royale le prince de Deux-Ponts-Veldenz, commencé en l’an de grâce 1794. »
— Comment, il y a cela ? dit le comte…
— Qu’est-ce qui vous étonne ?
— Le grand-père d’Isilda, le vieux qui est mort il y a deux ans, s’appelait Malreich, c’est-à-dire le même nom germanisé.
— À merveille ! Le grand-père d’Isilda devait être le fils ou le petit-fils du domestique français qui écrivait son journal sur un tome dépareillé de Montesquieu. Et c’est ainsi que ce journal est passé aux mains d’Isilda.
Il feuilleta au hasard :
« 15 septembre 1796. – Son Altesse a chassé.
« 20 septembre 1796. – Son Altesse est sortie à cheval. Elle montait Cupidon. »
— Bigre, murmura Lupin, jusqu’ici, ce n’est pas palpitant. Il alla plus avant :
« 12 mars 1803. – J’ai fait passer dix écus à Hermann. Il est cuisinier à Londres. »
Lupin se mit à rire.
— Oh ! oh ! Hermann est détrôné. Le respect dégringole.
— Le grand-duc régnant, observa Waldemar, fut en effet chassé de ses états par les troupes françaises.
Lupin continua :
« 1809. – Aujourd’hui, mardi, Napoléon a couché à Veldenz. C’est moi qui ai fait le lit de Sa Majesté, et qui, le lendemain, ai vidé ses eaux de toilette. »
— Ah ! dit Lupin, Napoléon s’est arrêté à Veldenz ?
— Oui, oui, en rejoignant son armée, lors de la campagne d’Autriche, qui devait aboutir à Wagram. C’est un honneur dont la famille ducale, par la suite, était très fière.
Lupin reprit :
« 28 octobre 1814. – Son Altesse Royale est revenue dans ses états.
« 29 octobre. – Cette nuit, j’ai conduit Son Altesse jusqu’à la cachette, et j’ai été heureux de lui montrer que personne n’en avait deviné l’existence. D’ailleurs, comment se douter qu’une cachette pouvait être pratiquée dans… »"
Procédons par ordre d'entrée.
15 septembre :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Al_Biruni
Occurence intéressante à plus d'un titre - il convient ici de mettre en perspective deux titres des oeuvres du savant - Chronologie et Cartographie - pour avoir sous les yeux la raison de cette mécanique des dates du ou des calendriers.
Par ailleurs, nous ne pourrons ici passer sous silence le fait que ce savant soit décédé un 13 décembre...ce qui renvoie à la date de destitution du pape Célestin V.
20 septembre :
En 1608 naissance de Jean-Jacques Olier ce qui renvoie sur un élément fondateur de l'énigme : l'église Saint-Sulpice de Paris, mais aussi sur l'opuscule le Serpent Rouge.
En 1804 - décès de Pierre Méchain - astronome français lié au Méridien de Paris.
Le jeu, puisque quelque part il y a une forme de jeu dans ce subtil agencement des dates se complique avec la date du 12 mars 1803 - ici, j'avoue avoir piétiné quelques jours pour comprendre.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Augustin_Dupr%C3%A9
Ici, il convient de s'interroger.
Pourquoi ce lien vers ce personnage ?
La réponse est contenue dans la marque ou le différent ( terme numismatique ) propre au corps de métier des Graveurs de Monnaie - à savoir pour le sieur Augustin Dupré :
http://multicollec.net/1-mo-h1/1h105
Retenons donc ce point : ARTEMIS - donc Diane.
Artémis ('Aρτεμις) était une des grandes divinités du panthéon grec, qui sera identifiée plus tard à Diane des Romains.
Ceci trouvera son explication plus loin, sur une autre date.
28 octobre :
En 1883 - décès de Monseigneur Henri de Bonnechose - éminente
personnalité de l'église catholique rattachée directement à l'énigme de Rennes-le-Château.
En 312 Victoire de Constantin 1er au Pont de Vilnius - IN HOC SIGNO VINCES ...
PAR CE SIGNE TU LE VAINCRAS.
Mais encore, en 1819 naissance du général Hans Herzog - personnage qui n'a aucun rapport avec notre énigme si ce n'est sa date de décès : un 02 février 1894;
LE 02 février étant le vrai message des Bergers d'Arcadie de Nicolas Poussin
( voir notre étude ci-après )
LA CLEF DE POUSSIN
Il est temps maintenant d'analyser une des pièces maîtresses de l'écheveau lié à l'énigme de Rennes-le-Château, nous ne le faisons pas parce qu'il est de bon ton, pour tout chercheur ou et auteur, faisant état de ses découvertes, de réserver un espace particulier à Nicolas Poussin et à son tableau " Les bergers d'Arcadie" , nous ne le faisons pas pour rajouter aux circonvolutions des uns ou des autres, géométriques pour la plupart, et qui ont certainement leur intérêt propre, nous le faisons parce que cela nous parle, parce que cela fait signe, parce que, sans nul doute, si le principe de La lettre volée devait s'appliquer sur un matériel accolé au mystère de tout ceci, c'est bien sur ce célèbre tableau, dans sa seconde version, que nous le situerions.
Nous
conseillons ici au lecteur d'avoir sous les yeux une reproduction du tableau en
question ( pour des raisons de contraintes techniques nous ne pouvons en joindre
).
Rares
sont ceux qui n'ont pas glosé, vis à vis de ce tableau mythique, sur
l'inscription Et in arcadia ego, son sens , son signifiant vis à vis de l'énigme
etc...Mais, de mon point de vue, s'il est un message qu'a voulu laisser pour la
postérité Nicolas Poussin, c'est de manière aussi visible que le nez au milieu
de la figure, et c'est bien pour cela que cet élément est demeuré jusqu'alors
ignoré , et invisible, la position des deux mains des deux bergers désignant
l'inscription et surtout, LE FAIT QUE CES DEUX MAINS FORMENT DEUX CHIFFRES : 2
et 2 .
Le
lecteur, habitué à la méthode que j'estime avoir découverte de correspondances
de dates aura deviné ou je veux en venir : 2 et 2 produit le 2
février.
Voyons
donc si nous trouvons à cette date matière à satisfaction :
Première
entrée et de quelle importance !
A CELUI QUI PASSE DE FAIRE LE BIEN ! ( voir Convergences début )
Et là, il nous faut raisonner une fois encore pour obtenir le bon sens de la lecture, si nos auteurs modernes , en l'occurence l'auteur du Serpent Rouge, les inventeurs de la tombe d'Urbain de Fleury, ont dirigé nos regards vers cette correspondance - ci, c'est bien parce qu'ils avaient en main les cartes, et décrypté ce que les Bergers d'Arcadie dissimulaient, à savoir cette date du 2 février.
La question complémentaire, ici, est pourquoi ?
Nous allons nous placer ici du point de vue de nos initiés modernes ( 18 ème - 19 ème siècle ), postérieurs à Nicolas Poussin, donc en ne préjugeant pas de l'intentionnalité du peintre vis à vis de notre énigme, quand bien même certaines présomptions tendraient à étayer le contraire.
Un message doit être passé, celui-ci serait de nature géographique, divers chemins intellectuels y conduisent, mais il serait bon de parachever ce qui existe, nous avons un tableau d'excellente facture, le jeu de correspondances de dates fonctionne admirablement, ajoutons-le donc au puzzle.
Voici comment cela pourrait s'être, dans les grandes lignes déroulé.
LE MESSAGE
Celui-ci va fonctionner par association.
Nous poursuivons sur la date du 2 février , en 1506 naissance de René de Birrague, entre autres fonctions, reçoit en 1582 l'évéché de Lavaur, dont il sera nécessaire de quérir l'origine du nom pour saisir le sens : Lavaur vient du gaulois Vobero signifiant le ruisseau caché...
Je sens, lecteur, que je commence à t'intéresser.
L'entrée complémentaire, pour la suite du message, se fera sur Dame Jeanne de Lestonnac, personnalité qui eut une existence un peu disons bouleversée, avant d'entrer dans les ordres , elle épousa en 1572 le baron Gaston de Montferrand-Landiras (fils de Jean de Montferrand et Jacquette du Rayet ), et décéda un 2 février 1640.
Le mot-clef ici est bien évidemment Montferrand, parce que ce nom fut, en son temps, le nom du village Rennes-les-Bains, ainsi que le mentionne le site internet pays de Couiza :
Ecclesia Sancti Nazarii de Arquis calidis - 1162
Valnei - Balnei 1307
Rector de balneis montisferrandis 1347
Regnes les Bains - 1406
Les Bains - 1594
Bains de Montferrand - 1632
Les Bans - 1642
Les Bains de Monferrand -1781
Les bains - 1807
Rennos, les Bans de Rennos
Voici donc quel est le message à destination du chercheur, depuis que le tableau Les Bergers d'Arcadie est associé à l'énigme : trouver le ruisseau caché de Rennes-les-Bains !
Etude publiée le 15 septembre 2011
Nous aborderons maintenant la date du 29 octobre.
Dans le lectionnaire de Jérusalem, station à Bethléem, mémoire des apôtres Cléophas, Corneille et Luc (et du martyr Pantaléon), lectures de II Cor. 8, 16-24 (pour Luc) et Lc 24, 13-35 (pour Cléophas)
Element de tout premier plan, l'apôtre Corneille n'étant autre que le centurion Corneille, premier gentil converti par Pierre, ainsi que le relate ce passage des Ecritures :
«Marqué par la puissance de l’Esprit Saint, Jésus de Nazareth est passé en faisant le bien et en guérissant tous ceux qui étaient tombés au pouvoir du diable ; car Dieu était avec lui. » (Actes, 10, 38). Ces propos de l’apôtre Simon Pierre résument toute la vie de Jésus. Ils sont prononcés dans un contexte bien particulier, celui du baptême du premier païen. Appelé à se rendre chez le centurion Corneille, Pierre commence par franchir un interdit : lui, un Juif respectueux de la Loi, il ne peut normalement pas entrer dans la demeure d’un étranger : ce serait une souillure légale. Mais, dans une vision, le Seigneur lui a fait comprendre que Dieu ne fait pas de différence entre les personnes : « Il ne faut appeler aucun homme souillé ou impur ». Présence du centurion Corneille qui va nous renvoyer à la date de sa fête, à savoir le 02 février, date-clef s'il en est... Le lecteur pourra observer avec intérêt dans le texte du roman 813 l'à propos de la mention d'une cachette. Nous dirigerons maintenant nos regards vers un autre auteur, illustre lumière des lettres françaises : Victor Hugo. Outre son immense oeuvre, celui-ci est présenté vis à vis de l'énigme de Rennes-le-Château comme un des nautoniers du Prieuré de Sion. C'est dans un de ses romans " Les travailleurs de la mer "que nous allons retrouver cette date du 29 octobre. Que le lecteur se rassure, je suis parvenu sur cette date et ce roman par le fait que je cherchais autre chose en rapport avec notre énigme... "La salle basse du rez-de-chaussée, halle à cheminée entourée de bancs et de tables, avait, au siècle dernier, servi de lieu d’assemblée à un conventicule de réfugiés français protestants. Le mur de pierre nue avait pour tout luxe un cadre de bois noir où s’étalait une pancarte de parchemin ornée des prouesses de Bénigne Bossuet, évêque de Meaux Quelques pauvres diocésains de cet aigle, persécutés par lui lors de la révocation de l’édit de Nantes, et abrités à Guernesey, avaient accroché ce cadre à ce mur pour porter témoignage. On y lisait, si l’on parvenait à déchiffrer une écriture lourde et une encre jaunie, les faits peu connus que voici : — Le 29 octobre 1685, démolition des temples de Morcerf et de Nanteuil, demandée au Roy par..." Certes, certes, il y a ici une vérité historique, mais celle-ci ne serait-elle pas prétexte à voiler une autre vérité ? Complétant la réponse sur la date du 29 octobre. Mortcerf est une commune qui a la particularité d'héberger un monument des plus singuliers :
De façon plus détaillée : http://www.archerjulienchampagne.com/article-2152476.html Nous aurions pu légitimement émettre quelque doute sur la pertinence de ce résultat, si nous ne rejoignions pas, du fait de la thématique de ce monument, une idée maîtresse qui nous accompagne depuis des années lors des recherches effectuées en votre compagnie, lecteur , à savoir cette récurrence autour du Déluge, qu'il soit d'eau ou de feu. D'autant plus, quand la date du 12 mars 1803 nous a guidé vers notre graveur de monnaie, dont la signature était Diane. Diane que nous retrouvons sur ce monument sis à Mortcerf. Mais encore lorsque l'on sait que Maurice Leblanc signa une pièce de théâtre méconnue : http://www.pastichesdumas.com/php/fiche.php?id=248 Dans notre étude sur Le Comte de Monte-Cristo de Alexandre Dumas Père, nous avancions avec force argument que certaines dates du roman en calendrier grégorien converties en calendrier juif pointaient vers la fête de Pourim, et conséquemment vers le Déluge, ce qui se retrouvait textuellement dans le roman. Nous soulignerons, s'il en fallait une preuve supplémentaire, qu'un des personnages du roman est le Vicomte de Mortcerf. Voici donc trois auteurs, qui semblent vouloir nous guider vers ce monument et son signifiant: le Déluge. C'est aussi vers ce monument que Maurice Leblanc nous dirigeait, dans un autre de ses romans " La femme aux deux sourires " datant de 1932, que nous avions déjà mentionné dans nos travaux précédents, mais dont nous n'avions exploré que partiellement toutes les potentialités. Extrait :" Il entendit qu’on sonnait à l’entrée. Il écouta. Ayant frappé, le valet de chambre vint lui dire qu’une jeune personne demandait à être reçue. « Je regrette, dit-il, je n’ai pas le temps. » Le domestique sortit, puis revint. « Cette personne insiste, monsieur le marquis. Elle dit qu’elle est la fille de Mme Thérèse, de Lisieux, et qu’elle apporte une lettre de sa mère. » Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre ici le jeu auquel se livre Maurice Leblanc : n'était la virgule entre Thèrèse et Lisieux, nous est donné l'indice d'aller quérir l'information sur la sainte homonyme. Et lorsque nous évoquons l'économie de moyens c'est bien parce qu'à cette sainte sont associées pas moins de cinq dates différentes : naissance, décès, fête, canonisation béatification - toutes antérieures à la rédaction du roman ( 193é ) - les correspondances de dates et les réponses fournies par celles-ci ont conditionné ce choix du romancier. Naissance : 02 janvier 1873. Décès : 30 septembre 1897. Béatification : 29 avril 1923. Canonisation : 17 mai 1925. Fête : 1er octobre. Fin de l'extrait Ici, Maurice Leblanc fait coup double, une occurence sur Pierre Corneille ( comprendre le centurion Corneille converti par Pierre ) - décédé dans la nuit du 30 septembre au 1er octobre,et le monument de Mortcerf, qui fut déclaré Monument Historique le 1er octobre 1921. A suivre ( la mécanique de Maurice Leblanc est encore plus complexe qu'exposé ci-dessus. Nous sommes ici sur une surdétermination des dates que nous nous efforcerons d'éclaircir bientôt - en clair la date du 20 septembre 1796 apporte d'autres réponses complémentaires - pour le 15 septembre nous cherchons encore.. ) Posté à 01h14 Element trouvé dix minutes après : Le 20 SEPTEMBRE 1796 VA NOUS MENER A LA PREUVE QUE MAURICE LEBLANC AVAIT CONNAISSANCE DU CODEX BEZAE ( bien évidemment à replacer dans le contexte du présent article ) Pour le lecteur qui veut essayer de tester cette mécanique quasi céleste : dans Google taper : 20 septembre 1796 - un évènement à saisir en rapport avec le domaine militaire ( que je suis gentil ) si tu trouves la bonne réponse suis le fil date de naissance - second évènement plus lointain - domaine de l'édition - on replace dans le contexte du roman de Maurice Leblanc on associe Cupidon- on parvient sur une page d'un livre de 1820 - associant le personnage mystère et Théodore de Bèze ! C'est du Grand Art ! Chapeau bas Arsène ! Le 21 octobre 2012 - l'auteur alain COCOUCH | |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire