NOTA :
Concernant la correspondance que nous avions établi entre l'indication du 17 quai de Montebello et la rue de la Bûcherie, il sera utile d'apporter la précision suivante, laquelle renforce ce jeu de miroir établi sur le plan urbain, à savoir que, gravé dans la pierre ainsi que d'autres rues anciennes appartenant au patrimoine historique de Paris, figure bien la mention du 17 rue de la Bûcherie.
Dont acte.
Nous reprendrons le fil de notre parcours, via la personnalité de Pierre Corneille pour laquelle nous avons obtenu tant de concordances, certaines tues car trop directement liées à un site précis sur le territoire de Rennes-les-Bains, d'autres dites, en investiguant le lieu qui s'impose car directement lié à Pierre Corneille, celui-ci y fut enterré, ainsi que le mentionne un médaillon à l'entrée de l'église.
Le grand tragédien Pierre Corneille(1606-1684) : l’auteur du Cid venait ici en voisin puisqu’il vivait rue d’Argenteuil. Sa présence est signalée par une plaque à médaillon à l’entrée de l’église, mais celle-ci est nettement postérieure à ses funérailles.
Extrait du registre paroissial de l'église Saint-Roch à Paris : Dudit jour, second octobre 1684, Mre Pierre Corneille, escuyer, cy-devant avocat général à la table de marbre à Rouen, âgé d'environ soixante et dix huit ans, décédé hier rue d'Argenteuil, de cette paroisse, a esté inhumé en l'église, en présence de Mre Thomas Corneille, escuyer, Sieur de Lisle, demeurant rue Clos Gergeau, en cette paroisse, et de Mre Michel Bicheur, prestre de cette église, y demeurant proche. Signé : Corneille, Bicheur. (Registre détruit par l'incendie de 1871 mais acte recopié par l'archiviste Auguste Jal dans son Dictionnaire critique de biographie et d'histoire, Paris, Henri Plon, 1897, page 428) .
Les aficionados de l'énigme de Rennes-le-Château, auront bien évidemment fait le lien entre cette admirable église,dont le patrimoine artistique recèle de vrais bijoux, et la présence en son sein de la reproduction de l'Arche d'Alliance, en la chapelle de l'Adoration.
Arche dont l'écho semble si prégnant vis à vis du mystère castelrennais.
Présentation de l'église sur le lien ci-dessous :
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Saint-Roch_%28Paris%29
Considérant que ce qui nous a mené sur ce lieu est essentiellement inscrit dans ce jeu de correspondances des dates, comme autant d'indices à notre disposition pour peu que nous en possédions la clef de lecture, nous avons poursuivi sur le même mode opératoire, cherchant le lien qui pourrait exister.
C'est également en relation avec un monument funéraire que nous allons établir ce lien.
Pierre-Louis Moreau de Maupertuis :
http://maupertuis.voila.net/son_mausole_a_Saint_roch.htm
Le choix de cette personnalité-ci étant naturellement posé par son apport en tant que scientifique sur différents plans, entre autre sa contribution sur une constante liée à notre énigme,à savoir le Méridien de Paris :
http://books.google.fr/books/about/D%C3%A9gr%C3%A9_du_m%C3%A9ridien_entre_Paris_et_Amie.html?id=Z1PNQAAACAAJ
C'est sur sa date de décès ( 27 juillet ) que nous trouverons ici l'occurence recherchée, celle-ci faisant signe et provoquant une nouvelle fois la surprise :
http://nominis.cef.fr/contenus/saint/7718/Les-Sept-Dormants-d-Ephese.html
En effet, ce serait agir trop en dilettante que de ne pas tenir compte du lien de parenté évident entre cette légende des 7 dormants d'Ephese et une personnalité d'ordre religieux également , au premier plan de notre énigme, mais pas forcément pour les raisons dont nombre d'auteurs se sont saisis, pensant tenir la proie, alors qu'ils n'étaient que dans l'ombre de celle-ci....
Nous avons trouvé ce lien-ci, qui est une bonne synthèse de notre propos :
http://www.marie-madeleine.com/dictionnaire/22_juillet.htm
Voici bien, de notre point de vue, un des aspects pouvant légitimer ce rappel de Marie-Madeleine, et dans l'énigme, et dans l'église de Rennes-le-Château, puisque, pour le lecteur qui n'aurait pas bien saisi là ou nous voulions conclure, l'église Saint-Roch de Paris est un des deux points de longitude, le premier étant la rue Corneille de Paris, qui fut transposé sur le territoire de Rennes-les-Bains.
La différence entre ces deux points, toujours sur le plan longitudinal, étant infime, nous nous risquons à émettre l'idée que l'un est le point d'entrée, le second le point d'arrivée.
Concernant l'église Saint-Roch de Paris, nous aurions encore à développer, mais là encore,en dépit de la tentation qui est mienne, nous nous voyons contraints, pour l'heure, de placer ce sujet entre parenthèse.
Pourvu que celle-ci soit enchantée...
En ce 19 septembre 2011, l'auteur alain C . . . . . h
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